Le financement de 8 milliards de dollars obtenu par l’Afrique du Sud pour son secteur électrique compte moins de 5 % de dons. Les autres pays africains, Maroc, Égypte, Côte d’Ivoire et Sénégal, notamment, n’en attendent pas moins.
La Banque mondiale et ses consœurs ont épuisé leurs ressources pour contenir les effets du Covid-19 et de la guerre en Ukraine sur le continent. Mais il existe des solutions pour leur redonner du souffle.
Banque mondiale, FMI, BAD… Ces institutions ont déployé de grands efforts face au Covid-19 et aux répercussions de la guerre en Ukraine. Aujourd’hui confrontées à des tensions de trésorerie, elles doivent pourtant accélérer le soutien à la transition énergétique des grands pays émergents. Cela se fera-t-il au détriment de l’Afrique ?
Pandémie de Covid-19, guerre en Ukraine, urgence climatique… Le chevauchement des crises met sous pression les finances des institutions internationales. Avec le risque, pour les pays africains, de ne plus être au centre des programmes d’aide.
Le messianisme du capitaine-président burkinabè a éclipsé le pragmatisme – voulu ou subi – de ses années au pouvoir. Quelle part de l’héritage conserver ?
Quinze pays africains préparent, développent ou déploient des e-monnaies. Sous le regard vigilant des banques, des opérateurs télécoms et de la fintech.
Le patron de l’institution britannique de développement British International Investment (ex-CDC Group), analyse les perturbations des marchés financiers et la crise macroéconomique en Afrique. Et revient sur les vraies priorités du développement, dans un contexte géopolitique instable.
Le PIB du Sénégal, dopé par la production pétrogazière, devrait passer la barre des 10% de croissance d’ici à 2024. Un cap qui reste toutefois difficile à tenir.
Plusieurs transactions ont permis à la banque de réaliser un résultat net supérieur à ses prévisions, des efforts supplémentaires seront toutefois nécessaires en ce qui concerne les revenus.
Malgré d’importantes dépréciations d’actifs, le groupe a amélioré sa profitabilité en 2022. Et son nouveau DG, Jeremy Awori, affiche déjà ses priorités.
L’ex-présidente du Brésil achèvera le mandat de son prédécesseur démissionnaire aux commandes de la banque multilatérale. Laquelle vient officiellement d’accueillir l’Égypte en son sein, alors que l’Algérie fait le forcing pour l’intégrer.
Une sous-performance du portefeuille d’actions a affecté les résultats de la banque dévolue aux pays africains. L’agence Moody’s anticipe un net rebond cette année.
Les perspectives des premières banques du royaume – et poids lourds régionaux en Afrique subsaharienne – se sont améliorées, après une année 2022 de consolidation de la reprise.
Venu de la banque privée, le patron béninois de l’institution publique ouest-africaine a bousculé le statu quo pour imposer une stratégie ambitieuse. Au risque de déplaire.
Après la décennie Yuma et l’intérim d’une année de Kaputo Kalubi, c’est un vétéran de l’industrie minière et un connaisseur du secteur bancaire qui prend les commandes de la Gécamines. Un nouvel état-major a également été installé.
Peu connue du public, l’institution multilatérale a consacré près de la moitié de ses financements au continent. Elle renforce sa force de frappe en faveur de la sécurité alimentaire et du climat.
L’institution financière internationale a accordé à la Tunisie un prêt de 120 millions de dollars pour des facilités de crédit. C’est le premier financement de l’année en faveur du pays qui attend encore une aide du FMI de près de 2 milliards de dollars.
Porté par ses marchés phares et les infrastructures durables, le groupe français a, sur le continent en 2022, frôlé une croissance à deux chiffres de ses revenus.
Le diagnostic dressé par le Fonds met en évidence une dizaine de réformes à mener prioritairement pour renforcer l’efficacité des dépenses publiques. Décryptage.
Notre analyse croisée des performances économiques d’Abidjan et de Yaoundé a suscité un vif émoi. D’aucuns prétendent que la croissance n’est pas le facteur essentiel de l’amélioration des conditions de vie des populations. De qui se moque-t-on ?
Un nouveau documentaire consacré à la monnaie ouest-africaine en explore méthodiquement les ambiguïtés et chausse-trappes. Sans – trop – céder à la polémique.
Cette nouvelle banque publique est censée décharger le Trésor du coût de la politique immobilière. Mais l’environnement réglementaire et institutionnel restent confus.
Les deux poids lourds de la zone CFA ont connu des trajectoires de croissance radicalement différentes en dix ans. Avec des résultats comparatifs stupéfiants. L’analyse de Jeune Afrique.