Presque trente ans après les faits, le meurtre du jésuite frondeur n’a toujours pas été élucidé. Un statu quo révélateur du rôle du politique dans cette tragédie, selon Jean-Claude Djereke, qui invite les religieux camerounais et africains à réclamer justice.
Vingt ans après son décès, en octobre 2001, l’héritage de l’écrivain camerounais semble insuffisamment valorisé. Une injustice pour celui qui, de son écriture acerbe, s’est dressé sa vie durant contre toutes les oppressions.
L’événement qui s’est déroulé le 8 octobre n’est qu’un marché de dupes. Il ne visait qu’à reconquérir le cœur des Africains alors que le sentiment anti-français se propage sur le continent.