En cinq ans, la Cour pénale internationale n’est pas parvenue à organiser le moindre procès contre des auteurs présumés de génocides, crimes de guerre ou crimes contre l’humanité.
Compte tenu des rapports de force militaires, nettement à l’avantage d’Israël, l’initiative de l’escalade que d’aucuns redoutent ne peut revenir qu’à l’État hébreu. Qui n’y a guère intérêt.
Dans un éditorial du 21 avril, le quotidien britannique Financial Times prend position pour le sénateur de l’Illinois dans la course à l’investiture démocrate. En voici de larges extraits.
Depuis l’investiture, le 19 avril 2007, du président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, ses rivaux – qui détiennent 34 sièges sur 95 à l’Assemblée – découvrent, non sans quelque difficulté, les vertus de la démocratisation.
Les uns ont rejoint le gouvernement, les autres tentent de faire entendre leur voix. Fortunes et infortunes des candidats malheureux à la présidentielle.
Ancien représentant de l’Algérie auprès de l’ONU, il succède à son compatriote Saïd Djinnit au poste de commissaire Paix et Sécurité de l’Union africaine.
Plus d’un an après les émeutes populaires et la nomination de Lansana Kouyaté à la tête du gouvernement, l’opposition peine à s’organiser. Ses deux principales formations changent de direction.
Ils sont chefs d’État, footballeurs professionnels ou golden boys. Et ne se déplacent qu’à l’aide du très onéreux véhicule militaire américain. Voyage au coeur d’une élite africaine fascinée par l’argent et l’esbroufe.