Alors que l’État vient de récupérer une partie de ses droits sur le domaine offshore, une société américaine annonce la découverte des plus importantes réserves d’hydrocarbures de l’Afrique de l’Ouest…
Le continent devient un fournisseur privilégié de Pékin et de Washington, qui cherchent à accroître et à diversifier leur approvisionnement. Après une hausse de 25 % en sept ans, la production africaine devrait dépasser 10 millions de barils/jour en 2007.
Outre la bauxite, dont la Guinée détient près des deux tiers des réserves mondiales, le pays recèle bien d’autres minerais dont l’exploitation pourrait doper le développement du pays.
Prévisible jusqu’à la fin des années 1990, la variation du prix du baril de pétrole est devenue trop aléatoire pour être anticipée. Car, plus que jamais, les données économiques ne sont plus les seules à influencer les cours. Décryptage.
La formidable biodiversité de la Guinée forestière risque-t-elle de pâtir du développement industriel ? Les ONG montent au créneau pour protéger la faune de la région.
Alors que la demande mondiale d’aluminium explose, le pays veut désormais valoriser son minerai de bauxite pour exporter des produits raffinés. Mais les activités de transformation sont gourmandes en énergie.
La Guinée équatoriale, le Nigeria et l’Angola se sont lancés dans la production de gaz naturel liquéfié, dont la consommation progresse de 12 % par an.
Exploité de façon industrielle depuis douze ans, le métal jaune pourrait devenir la deuxième ressource d’exportation du secteur minier, en dépit de modestes réserves.
Après une longue période d’attentisme, les opérateurs économiques semblent de nouveau s’intéresser au marché guinéen. Parallèlement, les bailleurs de fonds ont décidé de soutenir le gouvernement de Lansana Kouyaté.
Bien qu’il soit surnommé le château d’eau de l’Afrique de l’Ouest, le pays connaît une grave crise énergétique. L’État compte sur les partenaires privés pour le relancer.