Depuis la fin du XIXe siècle, l’Occident éprouve de moins en moins d’attrait romantique pour l’Orient. Mais des oeuvres érudites y ont vu le jour, pour mieux faire connaître ces lointaines contrées, leur passé, leur civilisation. Au cours du dernier tiers du XXe siècle, les grands esprits, en Occident, ont d’autres centres d’intérêt que le Moyen-Orient. Après des penseurs de la trempe de Louis Massignon et Jacques Berque, ou de grands historiens comme Charles-André Julien et Évariste Lévi-Provençal, ceux de leurs disciples qui pouvaient prolonger leur magistère n’ont pu acquérir l’aura de leurs maîtres.
Le rachat aux États-Unis d’une usine qui a englouti de grosses sommes d’argent sans produire jusqu’ici la moindre tablette de chocolat agite le tout-Abidjan.