À l’issue d’une bataille de près de trois semaines, l’un des principaux groupes affiliés à al-Qaïda a été neutralisé, début avril, par les forces de sécurité près de Béjaïa. Récit.
À l’heure où le conflit fait planer une menace majeure sur la paix et la sécurité internationales, l’ex-président américain apparaît comme le seul homme au monde capable de réunir les deux parties autour d’une table de négociation.
Grosse pointure de l’administration Bush, le nouveau président de la Banque mondiale n’en demeure pas moins un fin négociateur qui ne cache pas sa préférence pour le multilatéralisme.
Les infrastructures et l’aménagement du territoire, qui conditionnent le développement des capacités industrielles, sont érigés en priorités nationales.