Il y a sept ans, le 6 avril 2000, disparaissait celui qui conduisit la Tunisie à l’indépendance et en fit une république moderne. L’un de ses plus proches collaborateursrésume les grands enseignements qu’il laissa en héritage.
Le « monsieur Afrique » de l’Élysée et la « madame Afrique » du Quai d’Orsay s’apprêtent à quitter leur bureau pour ne plus y revenir. Tous deux ont en commun d’avoir géré de façon souvent conflictuelle la politique de Jacques Chirac sur le continent.
À l’heure de la réconciliation nationale, le pays rend hommage aux victimes du génocide. Et demande à la France de reconnaître sa responsabilité dans la tragédie.
Olusegun Obasanjo cède son fauteuil de chef de l’État à son poulain et lui laisse un pays au bord du chaos. Quelle image celle du réformateur ou celle de l’autocrate l’Histoire retiendra-t-elle ?
Dans une tribune publiée par Haaretz, l’ancien ministre israélien des Affaires étrangèresestime que l’État hébreu doit reprendre à son compte le projet d’accord israélo-arabeélaboré en 2000 à l’initiative de l’ex-président américain.
Convaincu de népotisme, le président de l’institution est désormais rejeté par l’ensemble du personnel, y compris la haute hiérarchie. Et voit ses chances de demeurer en place s’amenuiser de jour en jour.
Ancien ministre de la Défense et de l’Intérieur, aujourd’hui proche conseiller de la candidate socialiste, Jean-Pierre Chevènement explique ce que pourrait être la politique étrangère de Ségolène Royal.