Les 3 et 4 janvier, à Bruxelles, Laurent Gbagbo a dîné puis déjeuné avec Pascal Affi N’Guessan, à qui il conteste le titre officiel de président du Front populaire ivoirien (FPI). Ces retrouvailles ont surpris ses proches et même les autorités ivoiriennes, qui ne les avaient pas anticipées.
De la politique à l’économie en passant par la culture et le monde des médias, « The Africa Report », la publication anglophone du groupe Jeune Afrique, a sélectionné 28 personnalités africaines influentes à suivre en 2020 dans les cinq grandes régions du continent.
Six mois après l’expiration de son mandat à la tête de la Conférence internationale pour la région des Grands Lacs (CIRGL), le chef de l’État congolais en est toujours de facto le président.
La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) n’a pas statué sur le cas de Zahra Mansour, ex-garde du corps de Mouammar Kadhafi réfugiée en France, qui argue qu’elle ne pourrait retourner en Libye sans y être menacée de mort.
Le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Marcel Amon-Tanoh, a-t-il des velléités présidentielles ? Il devrait bientôt s’entretenir à ce sujet avec le chef de l’État.
Lors de leur réunion à huis clos à Niamey, le 15 décembre, le dirigeant Idriss Déby Itno a redit à ses pairs son intention d’envoyer un bataillon de l’armée tchadienne dans la zone sensible des trois frontières.
Deuxième PIB d’Afrique de l’Ouest, mais non membre de l’UEMOA, le Ghana a indiqué dimanche 29 décembre être déterminé à rejoindre les huit pays de la zone franc CFA dans l’utilisation de l’eco. Mais sans vouloir de parité fixe avec l’euro.
Entre libération des prisonniers d’opinion et révision de la Constitution, le nouveau président algérien Abdelmadjid Tebboune, élu le 12 décembre, compte prendre plusieurs mesures politiques.
Selon nos sources, le gouvernement camerounais n’a pas l’intention de participer à des pourparlers avec les Ambazoniens tant qu’il n’aura pas mis en œuvre les mesures issues du Grand dialogue national d’octobre et que les élections locales n’auront pas été organisées.
L’émir du Qatar a lancé une offensive en Afrique, où son pays souhaite accroître ses investissements. Après s’être longtemps appuyé sur les Marocains, il compte aujourd’hui sur plusieurs personnalités influentes pour lui ouvrir les portes du continent.
L’ancien président malien Amadou Toumani Touré (ATT), qui vivait en exil à Dakar depuis le coup d’État qui l’a renversé en 2012, est rentré définitivement à Bamako le 15 décembre.
Nommé coordinateur général des Affaires présidentielles, Noureddin Bongo Valentin, l’aîné du couple présidentiel, n’est pas le seul « fils de » aux affaires.
Le Qatar fait du lobbying pour que l’Union africaine (UA) prenne une part plus active à la résolution du conflit libyen et se dit prêt à financer ses initiatives.
Le directeur Afrique du National Democratic Institute (NDI) Christopher Fomunyoh et Alan Doss, qui dirige la Fondation Kofi Annan (KAF), s’étaient contentés d’un simple courrier pour annoncer que les ex-chefs d’État nigérian Goodluck Jonathan et béninois Nicéphore Soglo mèneraient une mission conjointe à Conakry sous l’égide de leurs ONG respectives.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé que l’eco remplacerait le franc CFA au sein des huit pays membres de l’Union monétaire ouest-africaine (Umoa).
Dans leur réponse au mouvement de contestation populaire qui secoue l’Algérie depuis dix mois, certains services de sécurité se sont particulièrement inspirés de trois ouvrages politiques de référence.
Dans son discours sur l’état de la nation, le 17 décembre, le président congolais s’est voulu optimiste sur la sortie de crise économique et financière. Tout en appelant, une fois de plus, à « traquer la corruption et les antivaleurs ».
L’envoyé spécial des Nations unies en Libye a récemment déclaré qu’il était à la recherche d’un « minimum de consensus » entre les acteurs internationaux du conflit avant de réunir les parties libyennes.
Autour du président Ibrahim Boubacar Keïta, les 500 invités du Forum de Bamako discuteront de la transformation de l’économie au sein de la Zone de libre-échange continentale africaine.
Marie Tumba Nzeza, la ministre des Affaires étrangères de la RDC, a annoncé début décembre le rappel et la fin de fonctions de trois ambassadeurs proches de Joseph Kabila. Parmi eux, deux ont été rappelés pour avoir soutenu la Chine à l’ONU sur le dossier de la répression contre les Ouïghours. Un soutien qui leur avait pourtant été expressément demandé par leur hiérarchie.