Les appels à la raison de Londres n’y ont rien fait : poussée par Tel-Aviv, l’administration Bush semble prête à tout, y compris une action armée, pour en finir avec la « menace » iranienne.
Sous la pression internationale, Ellen Johnson-Sirleaf a dû changer ses priorités et demander à ses pairs africains de revoir le cas de son prédécesseur.