Chaque année, le fossé se creuse entre ce que l’humanité consomme quotidiennement et ce que la Terre peut lui offrir. Pour les générations futures, la facture ne cesse de s’alourdir.
Plus de 10 000 institutions, 60 millions de bénéficiaires, entre 500 millions et 1 milliard de dollars de prêts annuels. L’accès des plus démunis aux services financiers n’est plus un voeu pieux.
Au pays de Mao Zedong, la pensée ultralibérale fait des ravages. Pour abattre la dictature communiste, certains extrémistes vont jusqu’à appeler de leurs voeux une intervention salvatrice des États-Unis !
Abidjan tente de renouer avec les bailleurs de fonds. Avant de mettre la main à la poche, le FMI exige toutefois le début du désarmement et l’assainissement de la gestion des deniers publics. Enquête sur les circuits économiques,nerf de la guerre… ou
Le différend entre Olusegun Obasanjo, le président en exercice, et Alpha Oumar Konaré, le patron de la Commission de l’organisation continentale, sur la crise post-électorale togolaise n’est pas qu’un simple conflit de prérogatives.
Le chercheur français, codécouvreur du VIH, explique comment les carences alimentaires affaiblissent le système immunitaire et favorisent donc la contamination.
L’inusable Bob Geldof organise le 2 juillet, en marge du sommet du G8, une série de concerts géants. Objectif de ce « Live 8 » : convaincre les pays industrialisés d’accroître leur aide à l’Afrique.
Le premier vient d’accéder à la présidence de la Banque mondiale. Les trois autres prendront dans les prochaines semaines la direction d’une grande organisation internationale. Du résultat de leur action dépend le sort de millions de déshérités.
Soumise à un harcèlement judiciaire incessant, mais consciente aussi des excès dont elle s’est rendue coupable ces dernières années, la presse veut trouver un modus vivendi avec le pouvoir.
De son expérience d’ancien ambassadeur de France et de collaborateur du général de Gaulle, Pierre-Louis Blanc a gardé « un intérêt marqué pour l’observation des hommes d’État ». Dans « Valise diplomatique » (éd. du Rocher), il décrit d’une plume alerte le
En exil doré à Tunis depuis plus de vingt ans, le président du comité central du Fatah refuse toute concession à Israël, s’oppose à Mahmoud Abbas et se considère comme le seul successeur légitime de Yasser Arafat.
Passionné de littérature, le nouveau Premier ministre n’a aucune expérience économique et n’a jamais sollicité les suffrages des électeurs. Pas vraiment idéal pour relancer la croissance et apaiser la grogne sociale !