Nouvelles réactions à nos enquêtes sur les phénomènes d’exclusion dont sont victimes les Noirs au Maroc (J.A.I. n° 2266) et en Tunisie (J.A.I. n° 2270).
La succession des visites ministérielles françaises à Alger ne doit pas faire illusion. C’est sur le plan militaire que le rapprochement est le plus sensible.
C’est sa vie propre et celle de son pays qui ont dicté ses sujets à cet écrivain exilé depuis 1976. Son dernier roman, « Links », n’échappe pas à la règle.
Militante féministe de longue date, elle vient d’être nommée secrétaire général adjoint du Parti du peuple pour la réconciliation et le développement (PPRD).
D’un roi à l’autre, tout demeure, rien n’est pareil. Le successeur de Hassan II entend marquer sa différence, et les Marocains, qui n’ont jamais été aussi libres, se résignent de moins en moins. Le terrorisme semble mäîtrisé, mais l’islamisme a le vent en poupe. Et le pays attend toujours un grand dessein…
C’est sur la population active que l’épidémie pèse le plus lourdement. Les entreprises, qui subissent le coût de la maladie, ont désormais choisi d’assumer celui de son traitement.
Le débat sur le racisme au Maghreb se poursuit dans les colonnes de J.A.I. L’historien et ethnologue tunisien Abdelhamid Largueche relativise l’ampleur du phénomène et décèle une dynamique positive.