Les 29 et 30 mars, à Tunis, les dirigeants arabes essaieront de dépasser leurs vieilles querelles « fraternelles ». Avec l’espoir de reprendre l’initiative sur les grands dossiers de l’heure. Y parviendront-ils ? Rien n’est moins sûr.
Une grande figure de l’opposition – et du journalisme africain – s’est éteinte le 14 mars, à Paris. Ferme dans ses convictions mais ouvert au dialogue, il était l’image même de la force tranquille.