Sitôt les négociations conclues, les « jeunes patriotes » se sont appropriés la rue. Récit d’une semaine de violence au coeur de la capitale économique ivoirienne.
Poursuivant leur campagne contre l’ex-Rhodésie, les Britanniques s’opposent à la venue de son président à Paris. Celui-ci n’est certes pas exempt de reproches. Mais pourquoi un tel acharnement punitif ?
Installés dans un ancien camp militaire français, les hommes de la Task Force antiterroriste – dont neuf cents marines américains – sont à pied d’oeuvre.