Notoriété, aptitude à peser sur le jeu diplomatique, poids économique, rayonnement moral ou culturel… « Jeune Afrique » désigne les hommes et femmes de la société civile les plus influents du continent.
Notoriété, aptitude à peser sur le jeu diplomatique, poids économique, rayonnement moral ou culturel… « Jeune Afrique » désigne les hommes et femmes de la culture et des médias les plus influents du continent.
Le 17 janvier 1991, avec l’opération militaire « Tempête du désert » en Irak, les États-Unis affirment avec fracas ce qui sera leur crédo au moins jusqu’à l’élection de Barack Obama, en 2008. À savoir le droit – considéré comme aquis par Washington – d’intervenir pour régler la vie des États et des peuples. Voici comment François Soudan analysait cette nouvelle donne, dans un article de J.A. n° 1569, daté du 23 au 29 janvier 1991.
À l’occasion de la commémoration des cinquante ans de l’assassinat de Patrice Lumumba, nous republions ici une interview de sa veuve Pauline, réalisée par feu Siradiou Diallo dans le J.A. n° 1239, daté du 3 octobre 1984. Où l’on voit que vingt-quatre ans après la disparition du héros national zaïrois, elle se démarquait clairement de ceux qui tuaient en son nom, se réclamant de lui.
Quel aura été le destin de Laurent-Désiré Kabila, abattu par un soldat de sa garde il y a tout juste dix ans ? Auréolé d’un passé lumumbiste, marxisant, le « Mzee » s’est révélé, une fois au pouvoir, moins proche du père de l’indépendance que de celui qu’il remplaçait : le maréchal Mobutu Sese Seko. Revivez le parcours du combattant Kabila à travers un article de Jean-Dominique Geslin, paru dans Jeune Afrique l’Intelligent n° 2089, daté du 23 au 29 janvier 2001.
Il y a vingt ans, le 17 janvier 1991, les États-Unis déclenchaient la première guerre du Golfe. Tractations, mots de codes secrets, stratégie… Redécouvrez comment l’Amérique et ses alliés ont préparé et lancé l’opération « Tempête du désert » contre l’Irak, à la faveur de la réédition d’un article de Hugo Sada paru dans Jeune Afrique n° 1569, daté du 23 au 29 janvier 1991.
Avec la libéralisation du régime, le chef du parti islamiste El Nadha, Rached Ghannouchi, annonce son grand retour en Tunisie. Avec lui, c’est l’islam politique et ses milliers de partisans qui vont tenter de reprendre pied dans un pays où Ben Ali les avait exclu des sphères de décision.
Dure année pour les banques de Lagos ! Plusieurs d’entre elles chutent dans notre classement, tandis que les réseaux panafricains Bank of Africa et Ecobank s’affirment.
Meilleur représentant du royaume, le groupe Attijariwafa Bank a ravi la deuxième place à la Banque extérieure d’Algérie. De son côté, le secteur tunisien est en pleine modernisation.
Obligation d’avoir un actionnariat local majoritaire, interdiction du crédit à la consommation, surveillance accrue… Face aux exigences des autorités, rien n’est simple pour les institutions financières, notamment étrangères.
Notoriété, aptitude diplomatique, poids économique, rayonnement moral ou culturel… « Jeune Afrique » désigne les hommes et femmes d’affaires les plus influents du continent.
La soixantaine de sociétés de gestion et d’intermédiation actives sur les Bourses francophones se partagent un maigre butin. Certaines s’en tirent bien, d’autres vivotent en attendant un boom providentiel. État des lieux à Abidjan, Casablanca et Tunis.
Malgré le ralentissement économique, les banques sud-africaines continuent de truster le haut du classement. Si l’Angola a le vent en poupe, Madagascar pâtit de la crise politique.
Il est en apparence un quartier déshérité d’Alger nommé Semmar, qui brasse en réalité des milliards de dinars. Depuis les années 1990, le commerce d’import-export y est florissant. Problème : il échappe totalement au fisc et les autorités ont bien du mal à le faire rentrer dans le giron de la légalité. Reportage.
La crise post-électorale ivoirienne a fait (re)surgir une question : quel est le rôle des intellectuels africains dans les mouvements d’émancipation et de démocratisation des peuples du continent ? Entre l’anonymat des uns, la démagogie des autres et la réaction épidermique à l’arrogance occidentale, la réponse n’est pas évidente à trouver…
L’interview du président sortant Laurent Gbagbo, qui a été diffusée mercredi soir sur Canal +, suscite un vent de polémique à Abidjan. Pour couper court aux suspicions de parti pris, la chaîne française a décidé d’enregistrer également un entretien avec Alassane Ouattara.
Écoles réouvertes, commerces, services publics… Lundi en Algérie, la vie reprenait son cours après cinq jours de violentes émeutes. Le gouvernement a promis de faire baisser les prix des produits de première nécessité, mais il faudra attendre un peu avant que la décision commence à produire des effets.
Paris affirme que les deux otages Français enlevés à Niamey vendredi soir ont été « exécutés ». Leurs corps ont été découverts après plusieurs fusillades des forces nigériennes et d’ « éléments français » avec les ravisseurs au cours de laquelle plusieurs d’entre eux ont été « neutralisés ».
Les Sud-Soudanais votent massivement dimanche au premier jour d’un référendum historique attendu depuis plus de 50 ans qui devrait mener à la partition du plus vaste pays d’Afrique, entre le Nord musulman et le Sud chrétien.
Le 9 janvier, si tout va bien, les électeurs choisiront de faire sécession. Un référendum pour tourner la page des années de guerre et auquel Khartoum semble s’être finalement résolu.
Pour conquérir le consommateur, les enseignes locales affrontent les multinationales. Avec moins de moyens, elles enregistrent néanmoins des succès notables.
Ce n’était plus qu’un secret de polichinelle, c’est désormais une certitude : le président de la BOAD, Abdoulaye Bio-Tchané, s’est porté candidat à l’élection présidentielle du Bénin. Face au président sortant Boni Yayi et à la coalition de l’opposition soutenant Adrien Houngbédji, la lutte sera rude.
Alors qu’en 2009 le secteur a progressé dans les pays émergents, il a reculé en Afrique. Les marchés sud-africain, marocain et nigérian affichent néanmoins un certain dynamisme.
Permettant d’investir en Bourse de manière indirecte, les organismes de placement collectif en valeurs mobilières n’ont guère séduit en Afrique subsaharienne. â¨Mais maintenant qu’ils s’ouvrent aux particuliers, la donne pourrait changer.