Alors que les Antilles françaises sortent d’un long conflit social, trois films évoquent les rapports difficiles entre descendants d’esclaves et de colons.
Les écrivains vivent de plus en plus hors du continent et publient chez des éditeurs occidentaux. Résultat : leurs livres sont peu lus en Afrique. Un phénomène qui prend de l’ampleur également chez les chercheurs en sciences sociales. Malgré quelques résistances.
Appréciées des étudiants, qu’ils viennent de Côte d’Ivoire, du Burkina, du Gabon et même du Nigeria ou du Ghana, les trois écoles de commerce sénégalaises rivalisent désormais avec les meilleures business schools du Maghreb.
Patron de la troisième école de commerce française, il veut mettre en place un réseau d’échanges d’étudiants et d’équivalences de diplômes entre l’Afrique subsaharienne, le Maroc et la France.
En Algérie, au Maroc et en Tunisie, les meilleurs établissements appliquent les standards internationaux à leurs méthodes et à leurs cursus. Objectif commun : former des managers capables de répondre aux exigences des multinationales.
Un temps promis au mariage avec son concurrent et compatriote HPS, le numéro deux marocain de la monétique change de stratégie et compte désormais sur l’international pour assurer sa croissance.
Le 30 avril, Bolloré Africa Logistics prendra officiellement les clés du terminal à conteneurs du Port autonome de Pointe-Noire (PAPN). En décembre dernier, associé à l’opérateur congolais Socotrans, le groupe français de logistique et de manutention portuaire a emporté le contrat de concession du PAPN pour vingt-sept ans, à l’issue d’un appel d’offres très disputé et encadré par les bailleurs de fonds.
Malgré la déprime dans l’industrie minière congolaise, il annonce un accord avec le groupe sud-coréen K-Water pour un total de 650 millions de dollars dans les mines et l’énergie. Et veut construire la première usine de superalliage de cobalt en Afrique.