On le sait, Matt Damon, est un acteur engagé. Tout comme ses amis Brad Pitt ou George Clooney, il ne manque pas une occasion d’accomplir la mission qu’il s’est confié au sein de l’ONG Not On Our Watch, dont il est l’un des cofondateurs. Mardi, il visitait donc un camp sud-africain de réfugiés à la frontière du Zimbabwe.
À deux semaines de la visite du pape Benoît XVI en Afrique, un essai de Serge Bilé relance la polémique sur la ségrégation raciale au sein de l’Église catholique.
« Il est très difficile de s’attaquer au pillage des œuvres d’art parce qu’il y a beaucoup d’argent en jeu », confie George Abungu, représentant pour le Kenya au comité du Patrimoine mondial de l’Unesco. Si les lois et les institutions internationales chargées de la lutte contre ce trafic existent bel et bien, leur efficacité reste sujette à caution.
La vente, le 25 février, de deux bronzes chinois de la collection Yves Saint Laurent-Pierre Bergé, réclamés par Pékin, rappelle que nombre d’objets d’art détenus par les musées ou les collectionneurs privés ont été dérobés lors de conquêtes coloniales. Un vol à grande échelle qui perdure en Afrique et alimente un trafic illicite dans une indifférence générale.
De retour d’une mission dans le pays, la Banque mondiale et le FMI préparent un vaste programme de soutien à la relance de l’économie de près de 2 milliards de dollars.