Pétrole, mines, tourisme, BTP, télécoms… Le pays diversifie son économie et affiche une croissance de plus de 10 %. La récession et un patriotisme exacerbé sont les deux handicaps du « miracle » angolais.
Rédacteur en chef de The Post, le plus influent des journaux anglophones du pays, il a été élu président de l’Union des journalistes camerounais (UJC) le 12 juillet dernier.
Certains la disent vigoureuse, d’autres malade… La presse se cherche une respectabilité dans un environnement politique et socio-économique qui ne lui fait pas de cadeaux.
Le célèbre musicien se dit afro-européen et très attaché à sa terre natale. Il s’y rend souvent, n’hésite jamais à s’engager pour elle, ni à dire ce qu’il en pense. Esquisse de ses coups de gueule, de ses coups de cœur et de ses projets.
S’il fallait repenser le drapeau national de façon ludique, deux armoiries y figureraient en bonne place : le football et la basse électrique. Depuis les années 1960, le pays produit en effet les meilleurs bassistes du monde.
Un ranch de taille moyenne au cœur de l’Adamaoua, terre d’élevage par excellence… Avec ses voisines, le Nord et l’Extrême-Nord, la région concentre l’essentiel du cheptel bovin camerounais, qui compte quelque 6 millions de têtes.
Voyage sur la ligne qui relie la capitale, Yaoundé, à l’une des principales villes du Nord, Ngaoundéré, dans l’Adamaoua. Le grand train, chaque jour, est bondé. Des raisons de cette surfréquentation et autres charmes du parcours…
L’État et Cameroon Railways sont enfin tombés d’accord pour financer la modernisation du rail. Bonne nouvelle pour les usagers, le train devrait retrouver une seconde jeunesse.
Doté d’importantes réserves de gaz naturel, le pays pourrait devenir, d’ici à 2015, un acteur important du marché international et combler le déficit national en électricité.
La récession mondiale n’épargnera pas le pays. Ses projets et ambitions ne sont pas mis au placard pour autant. Esprit d’entreprise, acharnement à réussir… Les Camerounais semblent mieux armés que d’autres pour rebondir.
Un nombre croissant de Français d’origine maghrébine choisissent le mariage à la mode orientale pour célébrer leur union. Une tendance qui a donné naissance à un business florissant.
Membre du Conseil économique et social pendant six ans, cette Franco-Algérienne de 53 ans tente désormais de redonner leur chance aux populations les moins favorisées.