Ancien ministre de la Défense de Laurent Gbagbo, Lida Kouassi est accusé par la justice ivoirienne de « complot contre l’autorité de l’État ». Son procès s’est ouvert lundi devant la cour d’Assises d’Abidjan.
Dans plusieurs provinces du pays, les forces armées de la RDC (FARDC) font face à une myriade de groupes armés et de milices, qui paraissent sans cesse renaître de leurs cendres en cette année supposée déboucher sur des élections.
Les juges d’instruction ont prononcé leur décision jeudi, suivant les réquisitions du parquet de Paris, estimant qu’il n’était pas possible « d’établir des faits circonstanciés et étayés à l’encontre des militaires ». Une procédure d’appel est probable.
Le chef de l’État a fait savoir à son Premier ministre Ahmed Ouyahia, que tout projet de privatisation devrait désormais d’abord recevoir son aval. Cafouillage au sommet.
Les autorités congolaises et la Mission des Nations unies en RDC (Monusco) accusent les rebelles ADF d’avoir tué plus de 700 civils depuis octobre 2014 dans la région de Beni. Samedi, l’armée congolaise a lancé une offensive contre le groupe ougandais, permettant de les déloger de deux positions.
Le parti au pouvoir au Liberia a annoncé dimanche l’exclusion de la présidente sortante Ellen Johnson Sirleaf. Il lui reproche de ne pas avoir fait campagne pour son vice-président Joseph Boakai, battu par George Weah au second tour le 26 décembre dernier.
Une trentaine de membres de l’opposition gabonaise en France qui avaient envahi samedi soir un hôtel particulier parisien appartenant à l’État gabonais a évacué les lieux « sans heurts » dans la nuit de samedi à dimanche, a indiqué à l’AFP une source policière.
Donald Trump s’est emporté jeudi lors d’une réunion avec des parlementaires à la Maison Blanche, cette fois, il était question d’immigration. Le locataire de la Maison-Blanche a qualifié plusieurs nations africaines, Salvador et Haïti de « pays de merde ».
Des heurts ont eu lieu pour une troisième nuit consécutive entre forces de l’ordre et jeunes dans plusieurs villes de Tunisie, où plus de 600 personnes ont été arrêtées depuis lundi, a indiqué le ministère de l’Intérieur.
Les adoptions par les étrangers, déjà suspendues depuis le 21 avril 2017, sont désormais interdites depuis mardi. Le ministère éthiopien évoque « divers crimes contre les mineurs ».
Soupçonné d’agressions pédophiles sur deux fillettes, un ressortissant français a été arrêté dans un atelier de couture à Fès. Des habitants ont manifesté mercredi pour exiger la peine maximale.
Le ministre équato-guinéen des Affaires étrangères, Agapito Mba Mokuy, a affirmé que le putsch déjoué le mois dernier, en décembre 2017 par Malabo, a été organisé en France. Il insiste cependant sur le fait que, selon lui, le gouvernement français n’a « rien à voir avec ça ».
Le congrès a voté, les deux chambres parlementaires gabonaises réunies en Congrès extraordinaire ont adopté mercredi le projet de loi controversé sur la révision de la Constitution. Le président Ali Bongo Ondimba a donc réussi à faire passer une réforme constitutionnelle pourtant très critiquée par l’opposition.
Trois jours après son arrestation à l’aéroport de Londres, Alexandre Djouhri a obtenu mercredi sa liberté sous caution. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il fait figure de personnage-clé dans l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.
Dans la nuit de mardi à mercredi dans la région du Kasaï, dans le centre de la République démocratique du Congo, des présumés miliciens opposés au pouvoir à Kinshasa, ont attaqué le domicile d’un membre de la toute puissante Agence nationale de renseignements congolaise (ANR) avant de le tuer et de le décapiter.
« Le processus électoral a été endommagé par les leaders politiques, qui ont attaqué des institutions indépendantes », précise le rapport publié mercredi par les observateurs internationaux, qui ont subi plusieurs critiques lors du scrutin.
Mardi, de nouveaux heurts ont eu lieu dans plusieurs villes de Tunisie. Le Premier ministre a appelé au calme et assuré que tout acte de vandalisme et de pillage serait sanctionné.
Alors que les autorités équato-guinéennes ont annoncé fin décembre avoir déjoué une tentative de coup d’État, l’envoyé spécial de l’ONU affirme que les Nations-Unies appuieront les autorités dans ses « efforts de stabilisation ». L’opposition se dit déçue de ne pas avoir rencontré l’émissaire des Nations Unies.
Jean-Pierre Lacroix, secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l’ONU, a notamment déploré « les entraves » au travail des Casques bleus le jour des marches du 31 décembre.
Kinshasa pleure ses morts après les inondations meurtrières de la semaine dernière dans la capitale congolaise. Les autorités craignent la propagation du choléra.
En quelques minutes d’un discours inspiré, dimanche, Oprah Winfrey est devenue la favorite d’Hollywood et de ses fans pour battre Donald Trump en 2020. Mais certains s’inquiètent d’une prime sans cesse plus grande au vedettariat, au détriment de l’expérience politique.
Un froid inhabituel enveloppe depuis quelques jours le royaume chérifien, où d’importantes chutes de neige ont été enregistrées dans les régions montagneuses. Un dispositif anti-froid a été mis en place dans les zones les plus affectées.
En Égypte, le premier tour de l’élection présidentielle se tiendra du 26 au 28 mars et un second tour aura lieu, si besoin, du 24 au 26 avril, a annoncé lundi l’Autorité nationale des élections.
L’homme d’affaires français Alexandre Djouhri a été interpellé dimanche à Londres. Intermédiaire financier à la réputation sulfureuse, il est au cœur de l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007.
Sisiku Julius Ayuk Tabe, président de l’auto-proclamée « République fédérale d’Ambazonie », et neuf autres cadres du mouvement séparatiste touchant les zones anglophones du pays auraient été interpellés au Nigeria. Ni les autorités nigérianes et ni celles du Cameroun n’ont pour l’instant confirmé cette information.
Israël a lancé un programme destiné à imposer à 38 000 migrants africains en situation irrégulière de choisir entre l’expulsion ou l’incarcération, affirmant avoir des accords avec des pays tiers pour assurer l’accueil des volontaires au départ. Après l’Ouganda, c’est au tour du Rwanda de démentir l’existence d’un tel accord.