Arrêté le 17 mai alors qu’il se trouvait dans l’est de la République démocratique du Congo dans le cadre d’un reportage sur un camp de réfugiés burundais, le correspondant de la radio-télévision allemande Deutsche Welle attend depuis dans la prison d’Uvira d’être fixé sur son sort. Le média a demandé ce lundi sa « libération immédiate ».
Le procès de Boris Boillon, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy devenu ambassadeur de France en Tunisie de 2011 à 2012, s’est ouvert ce lundi 22 mai à Paris. L’ancien diplomate avait été interpellé en juillet 2013 en possession d’une très importante somme d’argent liquide.
Concernant « la santé, l’éducation et le niveau de vie », un tiers des pays africains ont atteint des niveaux de développement « moyens ou élevés », selon un rapport publié lundi par la BAD, en partenariat avec l’OCDE et le Pnud.
En visite en Arabie saoudite, Donald Trump a appelé le 21 mai les pays musulmans à lutter avec détermination contre l’extrémisme. Le président américain voit dans la lutte contre le terrorisme une bataille entre « le bien et le mal ».
Cyril Ramaphosa a durci ses critiques contre le président Jacob Zuma en regrettant que son pays soit menacé de devenir un « État-mafia ». Le vice-président sud-africain a également plaidé pour une enquête sur les affaires de corruption au sommet de l’État.
Depuis Tripoli, le chef du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, a appelé le 21 mai à la libération des demandeurs d’asile et des réfugiés détenus dans les centres de rétention pour migrants en Libye.
Moins de 48 heures après une spectaculaire évasion de la prison de Makala, dans la capitale congolaise, plusieurs dizaines de détenus se sont échappés d’un autre établissement pénitencier à Kasangulu, au sud-ouest de Kinshasa dans la nuit de jeudi à vendredi.
Emmanuel Macron est arrivé ce 19 mai à Gao dans le nord du Mali. Le président français nouvellement élu souhaite donner une dimension nouvelle à l’engagement militaire de la France, sur place depuis quatre ans pour lutter contre les jihadistes.
Le président soudanais Omar el-Béchir a finalement décidé de ne pas se rendre au sommet des dirigeants arabes et musulmans de dimanche prochain à Riyad, en Arabie Saoudite. Le président américain Donald Trump doit en revanche y assister.
Sekou Touré s’est rendu le jeudi 18 mai à Bouaké, épicentre de la mutinerie qui a secoué le pays. Le chef d’état-major des armées ivoiriennes y a demandé pardon pour la mort d’un ex-rebelle démobilisé tué par les mutins.
Le Maroc a dénoncé le 18 mai l’agression physique de l’un de ses diplomates par un responsable algérien lors d’une réunion d’un comité onusien dans les Caraïbes. La rivalité des pays voisins sur la délicate question du Sahara occidental en serait la cause.
En analysant le sang d’un survivant de la dernière épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest, des chercheurs ont découvert un anticorps qui neutralise les trois principales souches du virus.
Une nouvelle manifestation s’est déroulée jeudi après-midi dans la ville d’Al Hoceïma, au nord du Maroc dans la région du Rif, épicentre depuis des mois d’un mouvement de contestation populaire.
2 900 migrants ont été secourus le 18 mai en Méditerranée, dont 2 300 d’entre eux faisaient route vers l’Italie. Un peu plus de 580 ont été reconduits en Libye, n’ayant pas encore atteint les eaux internationales.
Ce jeudi, les autorités congolaises ont annoncé la mise en place d’une commission d’enquête pour élucider les circonstances de l’attaque nocturne ayant visé la veille la prison de Kinshasa, Makala. Sans donner plus de détails.
Une dizaine de marchés ruraux ont été fermés et la circulation de voitures et motos a été interdite dans plusieurs zones de l’ouest du Niger pour lutter contre des infiltrations terroristes venant du Mali voisin, ont indiqué jeudi les autorités locales et l’ONU.
Les autorités marocaines ont annoncé une série de mesures d’urgence, suite au rejet sur le littoral de boues noires non-identifiées provenant apparemment d’une centrale thermique dans la ville de Mohammedia, sur la côte atlantique.
Le président américain Donald Trump a récompensé pour son soutien un shérif africain-américain ultra-conservateur et très controversé, en le nommant à un poste clé du ministère de la Sécurité intérieure.
Les corps de 25 mineurs ont été découverts après une explosion qui s’est produite la semaine dernière dans une mine d’or abandonnée du centre de l’Afrique du Sud. Ils sont pour la plupart originaires du Zimbabwe et du Mozambique.
Les autorités congolaise ont renvoyé vers Oslo ce mercredi un ex-soldat de nationalité norvégienne et britannique, incarcéré depuis 2009 en RDC pour des faits d’espionnage et d’homicide, d’après une annonce d’Oslo.
Ce mercredi, le ministre de la Défense tunisien a tempéré les propos du président Essebsi selon lesquels l’armée protégerait désormais des sites de production susceptibles d’être bloqués par des grèves et des manifestations.
Une force d’intervention rapide composée de Casques bleus sénégalais devrait être prochainement déployée dans le centre du Mali, où les attaques et violences intercommunautaires et les attaques jihadistes se multiplient depuis 2015.
Le gouvernement nigérian a annoncé ce mercredi 17 mai qu’une autre écolière de Chibok, kidnappée il y a plus de trois ans par le groupe jihadiste Boko Haram, avait été retrouvée par l’armée, alors qu’elle fuyait ses ravisseurs.
L’ONU a rendu mercredi un nouveau bilan de l’épidémie de méningite qui sévit au Niger depuis le mois de janvier et qui fait état de près de 180 morts, dont 45% sont des enfants de 5 à 14 ans. 3 000 malades ont officiellement été recensés depuis janvier.
Le bilan des victimes de la crise des soldats mutinés qui a secoué la Côte d’Ivoire du 12 au 15 mai est passé à 4 morts et 9 blessés, a annoncé le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement Bruno Koné, qui s’est exprimé à l’issue du conseil des ministres mercredi 17 mai. Il s’est en revanche refusé à communiquer tout chiffre sur le règlement financier de la crise.
Pour la première fois depuis 2012 dans le nord du Mali, un couple a été tué à coups de pierres le 16 mai parce qu’ils vivaient ensemble sans être mariés.
Une vingtaine de Sahraouis, accusés d’avoir assassiné onze membres des forces de l’ordre marocaines en 2010, se sont retirés de leur procès ce mardi. Les juges ont néanmoins décidé de poursuivre l’examen de l’affaire.