Tant que nous répéterons que notre malheur vient de la démocratie trop occidentale, que le complot mondial explique nos échecs et que l’islam nous dispense de nos responsabilités, le monde dit « arabe » ne verra pas de lueur d’espoir.
Suite à la publication du livre de Rachid Boudjedra, « Les Contrebandiers de l’Histoire », paru aux éditions Frantz Fanon (Alger, octobre 2017), où Kamel Daoud est désigné comme ayant été « membre du GIA », celui-ci publie une mise au point.
Depuis quelques années, on voit aux croisements des rues des grandes villes du nord de l’Algérie des familles de migrants originaires du sud du Sahara.