Le cinéma français compte certaines catégories dont le contenu laisse bien trop souvent perplexe. Parmi elles, les films « sans-papiéristes » et les « films de banlieue ».
Du 20 au 22 novembre se tient, dans l’une des salles du Carrousel du Louvre, à Paris, un forum destiné à promouvoir une plus grande représentativité des femmes en entreprises mais aussi au sein des lieux de pouvoir. Parmi les problématiques abordées, la question de l’entrepreneuriat féminin sur le continent africain et l’accès aux outils numériques.
Après sept ans à Paris, Lodia K., la créatrice de la marque spécialisée dans les articles en wax a choisi de retrouver Lomé, où est produit l’ensemble de ses collections.
Pour sa quatrième édition, la foire AKAA (Also Known As Africa), qui se tient au Carreau du Temple, à Paris, du 9 au 11 novembre, met l’accent sur le design.
À 31 ans, Rihanna est la chanteuse la plus riche du monde, selon le classement Forbes. En près de quinze ans, celle qui a vendu 280 millions d’albums, suivie par plus de 94 millions de twittos, est aussi devenue entrepreneuse, icône de la mode, égérie de beauté et star du petit écran.
Influenceuse connue pour ses tutoriels beauté sur YouTube et Instagram, Shirine Boutella est actuellement à l’affiche du film « Papicha » de Mounia Meddour, sorti en France le 9 octobre 2019.
Si, en Occident, le chapeau a longtemps été l’accessoire phare de l’élégance masculine, en Afrique et au sein de la diaspora son port revêt, au-delà du look, une dimension identitaire et culturelle.
Tout droit venue de Belgique, la Congolaise Lous and the Yakuza s’apprête à publier un premier album où la pop-folk poétique qu’elle cultive depuis deux ans rencontre une trap éthérée.
Marque d’accessoires et de prêt-à-porter créée par deux sœurs indiennes établies en Ouganda, Kona fait exclusivement appel à des coopératives féminines.
Forte d’un succès phénoménal dans les charts bien au-delà de la France, la chanteuse Aya Nakamura a lancé jeudi, en collaboration avec M.A.C Cosmetics, une collection de produits de maquillage censée célébrer « audace et liberté ».
Établi à Grand-Bassam, Zak Koné, jeune styliste à la tête de la griffe Pelebe, défend une approche moderne et ultra-chic de la mode, tout en s’inspirant de codes vestimentaires traditionnels.
À 19 ans, l’Australo-Soudanaise Adut Akech Bior est le mannequin que toute la fashion sphère s’arrache. Une étoile montante dont les débuts s’inscrivent dans une période où diversité et inclusivité semblent animer le milieu de la mode.
À 27 ans, l’Ivoirienne Lafalaise Dion est la créatrice de pièces réalisées à partir de cauris qui, depuis peu, lui valent un rayonnement à l’international… et en inspirent plus d’un.
C’est dans le quartier chic de Fann Résidence, à Dakar, que se trouve Chez Lulu, concept-store agrémenté d’une boutique éphémère thématique et d’un café-resto.
Établi à quelques pas de la place de la Concorde, le couturier et joaillier français Erik Schaix compte parmi sa clientèle plusieurs épouses de chefs d’État africains.
Si Facebook reste le réseau social le plus utilisé en Afrique, les applications de rencontre y trouvent aussi leur compte, comme l’hégémonique Tinder, outil de drague qui bouscule les mœurs sur le continent.
Dans son neuvième roman, Le Balcon de Dieu, Eugène Ébodé dresse le portrait misérabiliste de Mayotte à travers le regard de deux Sud-Africains blancs, cliché du jeune couple aisé et progressiste qui s’en va jouer les humanitaires à la suite d’« un signe du destin » (sans rire !).
Depuis décembre 2018, le collectif Bain de Foule organise presque chaque dimanche une soirée qui secoue la capitale ivoirienne. La dernière de la saison, avant la reprise en septembre prochain, s’est déroulée ce dimanche 4 août.
Avec un disque inspiré du remake du film Le Roi Lion, la superstar américaine rappelle son inclination pour le continent africain. Pour le meilleur et pour le pire.
Dior a dévoilé en avril le fruit de sa collaboration avec la société ivoirienne Uniwax : sa collection Croisière 2020, dont plusieurs pièces sont en wax 100 % made in Africa.
Les 13 et 14 juillet, près de 4000 personnes se sont rendus à la Seine Musicale, à Paris, pour assister à la 5ème édition française du festival de musique Afropunk qui, d’années en années, se mue en véritable démonstration de styles pour les afro-descendants.
À 29 ans, la Camerounaise Paola Audrey Ndengue vient d’être nommée responsable marketing du programme « Shuga Babi », que lancera prochainement la Fondation MTV à Abidjan.