Depuis une dizaine d’années, le catalogue de la plateforme de films et de séries en ligne Netflix ne cesse de s’étoffer. Notamment avec des contenus africains, entre acquisitions et créations originales.
Farouche défenseur de la mode africaine, Pathé’O, qui dit devoir sa renommée à Nelson Mandela, ne cesse de militer en faveur du développement d’une industrie du prêt-à-porter sur le continent. Rencontre lors du dernier Fima.
Victime d’un viol collectif, l’auteure du best-seller Bad Feminist, Roxane Gay, revient dans « Hunger » sur le rapport qu’elle entretient depuis avec son corps et la nourriture.
Pour doper sa communication, rien de tel qu’une star mondiale. Aujourd’hui, la création du continent bénéficie de l’aura d’une Rihanna, d’une Beyoncé ou d’une Lupita Nyong’o. Qui affirment au passage leur identité africaine.
Dans son roman graphique, Youssef Daoudi réimagine certaines anecdotes de l’itinéraire du duo formé par Pannonica de Koenigswarter, bienfaitrice et mécène de nombreux musiciens de jazz dans le New York de l’après-guerre, et Thelonious Monk, célèbre pianiste.
Adapté du best-seller éponyme de l’Africaine-Américaine Angie Thomas, ce long-métrage reprend justement le message de l’auteure mais s’embarrasse aussi d’un manichéisme tout hollywoodien.
Le groupe Trace TV a lancé, début décembre, son tout premier smartphone. Une façon de poursuivre la diversification de ses activités sur un terrain de plus en plus concurrentiel.
Les journalistes Aurélie Fontaine et Laeïla Adjovi sont parties à la rencontre de femmes qui, en Afrique de l’Ouest, attendent leurs époux émigrés. Elles ont choisi de rapporter dans un livre les portraits et témoignages de ces épouses ou fiancées esseulées.
Entre hommage au patrimoine artisanal et relecture orientaliste des tendances occidentales, l’Algérienne Rym Wided Menaifi crée des pièces éclatantes et poétiques.
Le jeune architecte tunisien Hassene Jeljeli a fondé, avec son père ingénieur, JK Lighting, une marque de luminaires design. Voici l’un de leurs modèles.
Le prêt-à-porter et les grands couturiers occidentaux n’hésitent plus à lancer des collections « pudiques », quitte à créer la polémique. Et pour cause : l’affaire est lucrative.
Les musées du continent sont-ils aptes à accueillir les œuvres restituées ? Les politiques culturelles mises en œuvre sont-elles à la hauteur ? Tour d’horizon.
En avril 2018, Yassine Alami et Samia Saadani ont lancé l’initiative « Hrach Is Beautiful » pour briser le tabou autour des cheveux crépus en Afrique du Nord.
La « designer hair couture » Murielle Kabile présente une nouvelle collection à base de cheveux, délaissant l’extravagance et le spectaculaire pour la simplicité.
En préconisant la restitution de leur patrimoine aux pays qui en feraient la demande, l’universitaire sénégalais Felwine Sarr et la Française Bénédicte Savoy ont jeté un pavé dans la mare.
La soirée du 24 novembre du Fima était dédiée aux créations de 22 stylistes panafricains. Parmi eux, l’Ivoirien Zak Koné, les Sénégalais de Bull Doff, et les Angolaises de Rogue Waves, nos trois coups de cœur.
Le Festival international de la mode en Afrique (Fima) a remis le 22 novembre ses trophées aux stylistes en herbe, mannequins débutants mais aussi artisans bijoutiers et maroquiniers à l’issue d’une superbe soirée de défilés.
C’est au nom de l’union entre les 54 pays d’Afrique comme gage du dynamisme de la mode africaine que le styliste Alphadi a ouvert la onzième édition du Festival international de la mode en Afrique (Fima) à Dakhla, au Maroc.