Spécialiste tunisien des médias, Larbi CHOUIKHA est professeur en sciences de l’information et de la communication à l’Institut de presse et des sciences de l’information (IPSI) de l’université de la Manouba, à Tunis.
La réforme promise dans les médias tunisiens n’a pas porté ses fruits. En cause, un manque de pragmatisme, une défiance vis-à-vis des décision de la Haute Autorité indépendante de la communication audiovisuelle et le manque de détermination de l’État d’en découdre avec le lourd héritage du passé.