Après la disparition de son chanteur d’origine sénégalaise, Lamine Sarr, en septembre dernier, le groupe francilien poursuit la croisière avec un deuxième album poignant, « Semer des graines ».
Dans un rapport diffusé le 9 janvier, la plateforme de diffusion de vidéos pornographiques donne un aperçu des préférences, en la matière, des internautes du continent.
Confrontées à une violente polémique et des accusations de racisme, les éditions De Varly ne vont vraisemblablement pas publier des planches mettant en scène le petit héros noir créé en 1951 par le dessinateur Mat.
Dans un premier long-métrage grinçant, I Am not a Witch, la Zambienne Rungano Nyoni dénonce un système archaïque et détraqué, gangrené par la corruption et les violences faites aux femmes.
Petit frère de Maître Gims, fils de Djuna Djanana, , le crooner de 26 ans s’est fait un prénom en quelques mois en chantant l’amour et les peines de cœur.
De plus en plus de femmes africaines se lancent avec succès sur la scène slam. Cet art oratoire poétique, sensible et engagé leur donne enfin l’occasion de se faire entendre.
À 75 ans, le lonesome cowboy du blues malien fait toujours parler la poudre. Parti se ressourcer sur les rives du Mississippi, il donne une série de concerts mélancoliques et pétaradants à Paris.
Artiste montante de la scène slam, la jeune Camerounaise Lydol profite des nombreux festivals de slam organisés sur le continent pour se faire un nom. Retour sur son parcours.
Le chanteur et activiste haïtien est mort dimanche des suites d’un cancer à l’âge de 69 ans. Arrêté, torturé, maintes fois exilé, maire de Port-au-Prince à la chute du clan Duvalier, il a toujours fait rimer art et politique.
La musique des quatre garçons de Tootard est directement façonnée par la géographie et l’histoire. Le groupe est né sur le plateau du Golan, une région conquise sur la Syrie par Israël durant la guerre des Six-Jours, et annexée par l’État hébreu en 1981.
Avec son nouvel album, « Trône », le Duc de Miami règne sur les charts. Le rappeur d’origine sénégalaise y poursuit son retour aux racines et ses collaborations avec des artistes afros. Mais dans le département d’origine de son père, Bakel, on peine à le voir comme un enfant du pays.
L’humoriste Nawell Madani raconte le parcours de Nawell Madani dans un film coréalisé et coscénarisé par Nawell Madani, « C’est tout pour moi ». Elle y incarne le premier rôle…
Exposé en grande pompe à la Fondation Cartier, à Paris, le photographe malien Malick Sidibé n’en finit pas d’inspirer les jeunes créateurs. Au risque de la répétition.
À 46 ans, Hawa Boussim mène de front sa vie de mère de famille dans un petit bourg burkinabè et sa carrière internationale. Son talent éclate dans son deuxième album, Mingoureza.
Si l’œuvre, la démarche et les pratiques du vibrionnant « mage blanc » font encore polémique, l’ethnocinéaste Jean Rouch est célébré partout pour les 100 ans de sa naissance.
Avec sa nouvelle création, Afro Cirkus, présentée à Paris, le Cirque mandingue a offert une prestation tout en énergie faisant oublier son manque de moyens.
Dans un troisième album très engagé, Barka, le rappeur burkinabè, Joey le Soldat, appelle au dialogue. Pour lui, une nouvelle insurrection est possible dans le pays car, sur le fond, rien n’a changé.
La quatrième édition du festival international « N’Djam s’enflamme en slam » réussit, avec peu de moyens, à créer un moment politique fort dans la capitale.
Nadia El Bouga, Leïla Slimani, Sofia Bentounes : trois auteures évoquent la difficulté d’avoir une sexualité épanouie pour beaucoup de musulmans, au Maroc ou ailleurs. Surtout quand on est une femme.
Défenseur d’un islam tolérant dans la vie, l’acteur d’origine algérienne Ramzy Bedia interprète un faux imam dans Coexister, le nouveau film religieusement incorrect de Fabrice Éboué.
Dans une adaptation très libre de la pièce de Jules Romains Knock, l’acteur chouchou des Français joue le premier rôle sans que sa couleur de peau n’ait d’incidence sur le scénario.
En tournée internationale dans la foulée de son deuxième album, Ensen, la chanteuse tunisienne Emel Mathlouthi a offert hier à son public parisien un concert cathartique.