Les disparités entre ville et campagne comptent parmi les principales contraintes de développement du royaume. Malgré les efforts d’équipement, les ruraux accusent des retards sur le plan de l’éducation, de la santé et, pour près d’un quart, souffrent de grande précarité.
Scène culturelle renouvelée, textes engagés… Un vent de liberté a soufflé sur la jeunesse et les artistes marocains. Certains les qualifient de rebelles, d’autres de nouveaux patriotes.
Aïssa Maïga est Sara dans le téléfilm La ville mord -diffusé le 26 juillet à 22h50 sur France 2- qui raconte l’arrivée, pleine d’espoir, d’une jeune congolaise à Paris. Artiste peintre en herbe, Sara va aller de déconfitures en désillusions, enchaînant les passes pour toucher son rêve du doigt. Quand sa cousine Zina est tabassée à mort par leur mac, Sara voit rouge et décide de se venger. Sa tête est alors mise à prix, la course poursuite commence… Interview.
Malgré les réformes engagées, à peine un élève sur trois a décroché cette année le précieux sésame de l’enseignement supérieur. En cause : l’inadéquation entre les sujets proposés et les méthodes pédagogiques.
Près de quinze villes nouvelles doivent sortir de terre à l’horizon 2020. Le défi est de taille pour un pays aux villes saturées. L’État, les banquiers et les promoteurs se retroussent les manches pour tenir cet engagement et maintenir leur rentabilité.
Si leur percée aux communales du 12 juin est surtout imputable au système de quota, certaines formations, notamment le Parti authenticité et modernité (PAM), ont activement contribué à cette petite révolution.
Vieux briscards, jeunes pousses ou femmes bénéficiant des quotas, les profils des candidats aux municipales du 12 juin sont variés, mais savamment étudiés. Portraits.
Le gouvernement comme les partis veulent restaurer la confiance des électeurs dans les institutions et les réconcilier avec la politique. Le scrutin communal du 12 juin aura valeur de test.