Alors que les voyages internationaux reprennent et qu’un nombre croissant de pays imposent des pass pour vérifier le statut médical des étrangers arrivant sur leur sol, il s’avère qu’être vacciné ne suffit pas toujours.
La pandémie frappe durement la Tunisie et les cas repartent à la hausse dans d’autres pays du Maghreb et du Moyen-Orient. L’OMS s’inquiète du manque de respect des mesures barrières et des risques accrus de contamination en vue de l’Aïd.
Alors que le continent fait face à une troisième vague brutale, l’urgence de vacciner se fait plus pressante. Mais les obstacles sont nombreux, et beaucoup d’Africains sont encore réticents…
Outsider politique avant la révolution, co-fondateur d’Attayar, le nouveau chef du Bloc démocratique à l’ARP est connu pour ses prises de position contre la corruption et ses nombreuses questions au gouvernement.
En pleine flambée du virus, l’initiative Covidar permet de désengorger les hôpitaux et d’accompagner les malades à domicile. Présent dans huit gouvernorats, le projet est aussi un test de digitalisation des informations de santé, mais les fonds manquent déjà.
L’ex-ambassadeur de France en Irak et en Tunisie, Boris Boillon, s’est vu déchoir de la Légion d’honneur quatre ans après sa condamnation. Retour sur son parcours émaillé de frasques.
Malgré la propagation des variants du Covid-19 en Afrique, les moyens ne sont pas suffisants pour les séquencer. En attendant des fonds et des vaccins, l’OMS met en oeuvre des trésors de logistique pour faire face aux nouvelles vagues de la pandémie.
Les vidéos mises en ligne par l’Institut du monde arabe (IMA) sont une belle occasion de tester des recettes du Maroc, d’Algérie, de Syrie ou du Liban, et de découvrir la culture de cheffes aux parcours hors du commun.
L’envoyé spécial de l’Union africaine pour l’Agence africaine du médicament, Michel Sidibé, œuvre activement à la mise en place de cette structure. En jeu : la régulation du secteur pour ouvrir la production et donner du poids au continent dans l’arène de la diplomatie sanitaire.
Plusieurs dirigeants du Parti destourien libre (PDL) écartés par sa présidente, Abir Moussi, demandent à être réhabilités. La présidente de la formation, héritière de l’ancien régime, leur a répondu par voie d’huissier.
L’ampleur de la contamination alimentaire provoquée par les déchets plastiques et leur recyclage est alarmante sur le continent. Jeune Afrique a eu accès en exclusivité à des données le démontrant.
En répondant à un appel de l’OMS pour évaluer son potentiel de production de vaccins, la Tunisie se positionne sur ce marché prometteur. Entretien avec Hechmi Louzir, directeur de l’Institut Pasteur de Tunis et président du comité opérationnel de vaccination.
Depuis qu’il a pris la tête de Afek Tounes il y a six mois, l’homme d’affaires Fadhel Abdelkefi tente d’imposer sa formation parmi les partis centristes.
Sur le continent, la crise du coronavirus est probablement sous-estimée et a freiné les progrès sanitaires, souligne le dernier rapport statistique annuel de l’OMS. Entretien avec son directeur régional des opérations d’urgence.
Malgré les nombreux plaidoyers en faveur d’un accès équitable à la vaccination contre le Covid-19, les laboratoires n’ont pas joué le jeu estiment ONG et institutions internationales.
Dans un rapport, l’International Crisis Group souligne une nette diminution des actes terroristes dans le pays depuis 2016. Mais l’organisation alerte sur les conséquences du manque de prévention et de la répression.
La visite à Tunis du Premier ministre français Jean Castex est l’occasion de rencontres entre parlementaires des deux rives. Parmi eux, Saïda Ounissi, députée d’Ennahdha, présente à « Jeune Afrique » sa vision d’une relation bilatérale encore en mal de confiance.
Si les États africains se mobilisent pour fabriquer les vaccins localement, les capacités industrielles sont inégales et les négociations avec les géants pharmaceutiques (Johnson & Johnson, Pfizer, BioNTech) demeurent opaques.
La visite de Kaïs Saïed à Paris, à l’occasion du Sommet sur les économies africaines, a été l’occasion d’entretiens bilatéraux. Mais plusieurs sujets compliquent les échanges entre les deux pays.
Alors que la création de hubs régionaux de production de vaccins est plébiscitée sur le continent, des pays du Maghreb se positionnent. Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie tentent d’attirer des contrats sous licence et de développer leurs compétences technologiques.
Alors que les pesticides dangereux interdits au sein de l’Union européenne sont encore produits et exportés vers le Maghreb, des décideurs de part et d’autre de la Méditerranée s’engagent à faire évoluer les législations, Rabat et Bruxelles en tête.
Malgré leur interdiction d’utilisation au sein de l’Union européenne, des pesticides dangereux sont toujours produits par des entreprises des 27 et exportés dans le monde. Le Maroc, l’Algérie et la Tunisie ne sont pas épargnés.
Élection d’un président, restructuration à tous les étages, démocratie interne ou encore concrétisation de sa ligne économique… Ennahdha devrait enfin organiser son onzième congrès d’ici fin décembre. Le tout sur fond de crise nationale.
Dans son livre « Généalogie des villes de Tunisie », la chercheuse Leila Latreche explore l’histoire des échanges et des conquêtes du pays en révélant l’évolution des noms de ses centres urbains. Un voyage à travers les époques et la géographie.
Quelque peu disparu des radars depuis fin 2019, l’ex-chef du gouvernement Youssef Chahed a réémergé ces derniers mois dans les médias et sur les réseaux sociaux, où s’est récemment invitée la polémique autour du « jeudi noir » de juin 2019.
La polémique enfle autour de l’Union internationale des savants musulmans-Tunisie, filiale de l’organisation fondée par le prédicateur Youssef al-Qaradawi. Représente-elle un danger en matière de sécurité et d’enseignement ? Quels sont ses liens avec Ennahdha et avec les Frères musulmans ? Enquête.
La visite du président tunisien en Libye le 17 mars est censée donner le coup d’envoi à une coopération renouvelée entre les deux pays. Mais la crise de l’exécutif tunisien et les différentes influences au sein des nouvelles autorités libyennes risquent de freiner ce nouvel élan.