Le président de l’ONG Urgences Panafricanistes, Kémi Séba, a été placé sous mandat de dépôt vendredi soir, à la prison centrale de Rebeuss, au terme d’une journée de garde à vue devant les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (DIC). Il lui est reproché d’avoir brûlé un billet de 5 000 F CFA lors d’un rassemblement, le 19 août à Dakar.
«L’image que les médias vous proposent de l’Afrique est généralement celle d’un continent en crise, victime de catastrophes naturelles, de famines, de drames ou de coups d’État militaires… Eh bien, ce soir, c’est une tout autre image que [nous vous proposons] : celle d’un petit pays – le Rwanda – qui […] cherche à conquérir son indépendance économique et son autonomie, sans crise, sans drame. »
Pour avoir présenté un document de voyage orné de l’ancien drapeau rwandais, en vigueur au moment du génocide, une délégation diplomatique française a essuyé un refus de visa des autorités rwandaises.
La publication d’un nouveau témoignage et deux dépôts de plainte émanant d’ONG rouvrent le douloureux dossier du rôle de la France dans le génocide de 1994, au Rwanda, à travers son soutien matériel au gouvernement hutu.
Dans sa livraison du 28 juin, la revue XXI apporte des informations inédites sur l’aide multiforme apportée par Paris aux extrémistes hutus organisateurs du génocide au Rwanda, en 1994.
Trente ans après la création du Front patriotique rwandais (FPR), le réalisateur français Christophe Cotteret revient, avec son film « Inkotanyi », sur l’histoire de l’ex-rébellion rwandaise, devenue parti-État.
Depuis sa retraite francilienne, l’ancien président, Abdoulaye Wade, tire les ficelles de la coalition d’opposition qui entend défier Macky Sall lors des législatives. Et son come-back à Dakar est promis sous peu…
En détention, le programme quotidien de Khalifa Sall n’est guère différent de celui que revendiquaient avant lui d’autres prisonniers célèbres issus de la classe politique, comme Karim Wade ou Idrissa Seck.
Depuis son placement en détention, début mars, Khalifa Sall a vu défiler à son parloir les principaux adversaires de Macky Sall. Leur objectif : constituer une liste unique aux prochaines législatives.
Reporters sans frontières vient de publier son classement mondial de la liberté de la presse 2017. Jeune Afrique s’est penché sur la méthodologie adoptée par l’ONG.
Incarnation d’un pays autrefois déchiré et aujourd’hui en voie de résilience, Nelly Mukazayire, rwandaise, entend laisser derrière elle les fantômes du génocide.
Le procureur général ayant renoncé à son pourvoi en cassation, Bamba Fall, le maire socialiste de la Médina, une commune de Dakar, a été libéré mardi soir. Il était incarcéré à la prison de Rebeuss depuis janvier.
La fronde gronde contre le président sud-africain, Jacob Zuma, autour duquel s’amoncellent les scandales. Alors que son parti, l’ANC, est sur le point d’imploser, lui reste droit dans ses bottes.
Comment expliquer la miraculeuse ascension de l’ancien ministre de l’Économie ? S’il était né en Casamance ou sur les terres du vaudou, la réponse irait de soi : il a déniché un super-marabout !
À peine ouverte, l’instruction visant Khalifa Sall est déjà close. Placé en détention provisoire et inculpé depuis le 7 mars pour détournement de deniers publics, faux et usage de faux, l’édile et ses présumé complices pourraient comparaître sous peu devant un tribunal dans l’affaire liée à la caisse d’avance de la mairie de Dakar. Le préjudice allégué serait de 2,7 millions d’euros.
Erreur technique ou complot ? La diffusion, en pleine journée, d’images provenant d’un film X sur l’une des chaînes de télé de la communauté mouride provoque l’émoi de Touba à Dakar.
Poursuivi pour détournement de deniers publics, le maire de Dakar, Khalifa Sall, a été écroué à la prison de Rebeuss. Mais l’édile dénonce une cabale politique et reçoit le soutien de nombreux ténors de l’opposition.
Après avoir négocié le départ de Yahya Jammeh, Mohamed Ould Abdelaziz attendait plus d’égards de la part de son homologue gambien. Il a rappelé son ambassadeur à Banjul.
Au terme de son audition ce mardi par un juge d’instruction, le maire de Dakar n’est pas ressorti libre du Palais de justice. Accusé de détournement de deniers publics et d’association de malfaiteurs, il a été écroué dans la soirée avec six de ses collaborateurs.
La population rwandaise semble apporter un soutien sans faille au pouvoir. L’obéissance à l’autorité est-elle une caractéristique spécifique à la société rwandaise ?
Les détracteurs du régime l’accusent de développer le pays à marche forcée. Pourtant, le chemin parcouru depuis juillet 1994 et le génocide des Tutsis est indéniable. Et les Rwandais ont approuvé la réforme constitutionnelle autorisant Paul Kagame à briguer un nouveau mandat en août prochain.
Selon l’avocat Thierry Kevin Gatete, la réforme constitutionnelle qui permet au président Paul Kagamé de se représenter à la prochaine élection présidentielle crée « un précédent dangereux ».
Comment le gouvernement rwandais conjugue-t-il transparence financière, dialogue entre pouvoir et population, mémoire du génocide et développement économique ? La réponse en une infographie.
Khalifa Sall doit être entendu ce lundi après-midi par un juge d’instruction à propos d’un présumé « détournement de deniers publics » portant sur plus de 2,7 millions d’euros. Le maire de Dakar s’estime victime d’un « complot politique ».
Une ligne a-t-elle été franchie ? Poursuivi par la justice française, Lamine Diack est ardemment soutenu par une partie de la classe politique. Et ses fils font bloc derrière lui. Enquête sur un clan en eau trouble.