La présidentielle du 25 février prochain focalise l’attention, mais il est aussi plus que probable que le successeur de Macky Sall voudra organiser des législatives dans la foulée.
Pour faire enregistrer la candidature de l’opposant à la présidentielle de 2024, son équipe de campagne a dû user de subterfuges face aux obstacles posés par l’administration.
Quelque 90 candidats ont déposé leur dossier de candidature avant la limite du 26 décembre. Le Conseil constitutionnel a jusqu’au 12 janvier pour les examiner.
Dans une Europe soucieuse de verrouiller au maximum les flux migratoires, 2024 devrait voir se généraliser les politiques de rétention et d’externalisation en matière de gestion des migrants. Ce qui pourrait passer par des accords avec certains pays du continent.
Omniprésent sur les réseaux sociaux mais toujours absent du Sénégal, le candidat du PDS continue de cultiver le mystère à dix semaines de la présidentielle.
L’opposant, incarcéré depuis juillet 2023, a-t-il bénéficié d’un financement occulte du Qatar en vue de la présidentielle ? Jamais étayée, la rumeur vient de resurgir.
Issus de l’ex-Pastef, les candidats à la présidentielle Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye sont incarcérés. Voici ce qu’il pourrait se passer si l’un d’eux était élu depuis sa cellule.
Radiation des listes électorales, dissolution du Pastef… La Cour communautaire a débouté l’opposant sénégalais, candidat à la présidentielle de février 2024.
Le transfèrement d’Ousmane Sonko d’un hôpital vers une prison de la capitale sénégalaise, qui provoque la colère de ses partisans, est justifié selon l’administration pénitentiaire.
L’élection du 25 février marquera-t-elle une troisième alternance ou un changement dans la continuité ? Pour plusieurs candidats, elle sera en tout cas le scrutin de la dernière chance.
L’Union interparlementaire, qui réunit les représentants de 180 Parlements, a pris position en faveur de la candidature d’Ousmane Sonko à la présidentielle de 2024.
Coupables d’avoir contredit la ligne officielle dans l’affaire Ousmane Sonko, les douze membres de la Commission électorale nationale autonome ont été remplacés par décret.
Deux instances officielles en charge des élections s’affrontent à moins de quatre mois du scrutin présidentiel : Ousmane Sonko doit-il ou non être réinscrit sur les listes électorales ?
C’est avec des têtes d’affiche globalement novices, une foule de candidats anonymes et un dauphin cumulant la charge de Premier ministre que s’est ouverte la campagne qui décidera de l’identité du successeur de Macky Sall.
Les 21 et 22 octobre, l’opposant sénégalais a été empêché par le préfet de recueillir ses parrainages dans le département de Fatick, bastion du président Macky Sall.
Après plus de trois mois de dissensions, Yewwi Askan Wi, la principale coalition de l’opposition sénégalaise, vient de voler en éclats. En cause, la fracture entre les partis d’Ousmane Sonko et de Khalifa Sall, devenue irréductible.
Au terme d’une audience marathon, jeudi, le tribunal d’instance de Ziguinchor a ordonné la réinscription de l’opposant sénégalais sur les listes électorales, rouvrant la voie à sa candidature à la présidentielle.
Les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité viennent de présenter cinq noms en vue de la présidentielle, tout en saisissant la justice pour permettre à Ousmane Sonko d’y participer.
Dans son dernier roman, « La Reine aux yeux de lune », l’écrivain retrace la courte existence de Kimpa Vita, figure anticolonialiste de l’ancien royaume Kongo, dont la mémoire se perpétue aux quatre coins du continent.
Alors que 75 candidats ont déjà fait connaître leur intention de concourir à l’élection, la campagne de recueil des parrainages citoyens, qui vient de s’ouvrir, permettra-t-elle de contenir ce débordement d’ambitions ?
Malgré le filtrage des parrainages et celui de la caution, la prolifération de candidatures à la présidentielle ne semble pas avoir fléchi, à cinq mois de l’échéance.