Invoquant la violation de ses droits fondamentaux, l’opposant sénégalais incarcéré a saisi la juridiction communautaire afin de pouvoir concourir lors de la présidentielle de février 2024.
Plus effacé que jamais depuis qu’il a été nommé Premier ministre, Amadou Ba a su habilement éclipser ses concurrents avant d’être désigné par Macky Sall pour lui succéder.
Si la page du troisième mandat présidentiel est désormais tournée, le ministre sénégalais de la Justice a fort à faire avec les procédures judiciaires visant l’opposant Ousmane Sonko. Il s’en explique à JA.
L’avocat d’Ousmane Sonko aide-t-il vraiment son client en jouant le matamore ? Ne devrait-il pas laisser la place aux conseils sénégalais de l’opposant ?
La principale coalition de l’opposition sénégalaise finira-t-elle par imploser ? La mise à l’écart de Khalifa Sall lors d’une rencontre avec le khalife général des mourides peut le laisser craindre.
Depuis la clôture du dialogue politique, la principale coalition de l’opposition a déposé plusieurs requêtes devant le Conseil constitutionnel visant à faire invalider certaines réformes pourtant favorables à son propre camp.
Opposants à Macky Sall sans toutefois l’honnir, en délicatesse avec l’aile radicale de Yewwi Askan Wi, le duo de Taxawu Sénégal s’est réparti les rôles en vue de la présidentielle de février 2024.
Condamné à verser 256,8 millions d’euros de dédommagement à l’homme d’affaires Bibo Bourgi, l’État sénégalais vient de voir la justice française confirmer définitivement un arbitrage international décisif.
Ressuscitée en 2012, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), qui a condamné Karim Wade trois ans plus tard, devrait être définitivement remplacée par un pôle financier. En onze ans, elle n’aura jugé que deux accusés.
Si le filtrage des candidatures s’est assoupli, il ne bénéficiera pas pour autant à chacun. Difficile de savoir qui, à ce jeu de chaises musicales, pourra s’asseoir en février 2024…
Le renoncement de Macky Sall a rebattu les cartes au sein de la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar (BBY). Les trois principaux partis qui la composent opteront-ils pour une candidature unique ?
Macky Sall hors du jeu, tout comme Moustapha Niasse, le scrutin de 2024 verra s’affronter de nombreux candidats n’ayant jamais concouru à une élection présidentielle.
Dans le propre entourage du chef de l’État, son renoncement à briguer un troisième mandat en février 2024 a surpris. Surtout que de nombreuses questions restent en suspens.
Condamné au Sénégal pour « corruption de la jeunesse », l’opposant a fait les frais d’un délit très français, abandonné depuis longtemps dans le pays qui l’a vu naître.
Proche de plusieurs chefs d’État africains, l’architecte sénégalais a tenté une médiation entre Macky Sall et Ousmane Sonko. Un exercice dont il est coutumier mais qui, cette fois, a échoué.
Officialisée à l’issue du dialogue national, la révision du jugement de Karim Wade semble désormais acquise. Reste à en cerner le calendrier et les modalités.
En justifiant la teneur du jugement condamnant Ousmane Sonko, le ministre sénégalais de la Justice a-t-il ouvert la boîte de Pandore ? Jeune Afrique révèle les éléments ayant servi de base au procès.
Après les violences qui ont suivi le verdict du procès Sonko, l’avocat français Juan Branco annonce avoir saisi le procureur de la CPI pour crimes contre l’humanité. Outre le président, une centaine de ministres, d’officiers et de dignitaires sénégalais sont visés.
Dans la ville sainte de la confrérie mouride, qui totalise près de 300 000 électeurs, aucun lieu de vote ne sera installé pour la prochaine présidentielle. Décryptage d’une mesure inédite.
Le représentant régional du Haut Commissariat aux droits de l’homme des Nations unies, Robert Kotchani, a été reçu par la ministre sénégalaise des Affaires étrangères, Aïssata Tall Sall. Ils ont évoqué le sort des partisans d’Ousmane Sonko. Coulisses.
Rien ne les rapproche sinon d’avoir été condamnés pour « corruption de la jeunesse ». Et si le procès de Socrate éclairait la condamnation récente d’Ousmane Sonko ?
À la demande notamment d’Adji Sarr, qui accuse l’opposant de l’avoir violée entre fin 2020 et début 2021, un procès en appel aura lieu dans l’affaire judiciaire qui tient les Sénégalais en haleine.
Poursuivi pour viols, l’opposant sénégalais a finalement été condamné pour « corruption de la jeunesse ». Retour sur un verdict qui alimente la polémique.
Passé sans transition d’une opposition certes radicale mais classique à l’apologie de la désobéissance civile, Ousmane Sonko pourrait bien avoir franchi la ligne jaune. Le verdict dans son procès pour viols doit être connu ce jeudi 1er juin.
Après avoir entretenu le mystère ce dimanche 28 mai, l’opposant sénégalais a dévoilé les circonstances de son retour à Dakar, sous la contrainte des gendarmes.
Plusieurs partis de l’opposition prendront part au « dialogue national » qui doit débuter le 31 mai. En espérant voir entérinées leurs propositions en vue de la présidentielle de 2024.
Depuis son ouverture, en 2008, le « French bistrot » de Johan Gaudel met à l’honneur des plats traditionnels de France. Tout en les faisant voisiner avec la gastronomie locale.
Depuis le premier jour, l’opposant et ses partisans dénoncent une machination politique orchestrée au sommet de l’État. L’accusé parviendra-t-il à en convaincre ses juges ?