En mars 2021, alors que les partisans d’Ousmane Sonko redoutent son placement en détention provisoire, des émeutes éclatent à travers le Sénégal. Mais pendant plusieurs mois, la justice fera du surplace.
En février 2021, la jeune Adji Sarr porte plainte pour viol contre l’opposant sénégalais. Protégé par l’immunité parlementaire, celui-ci dénonce une tentative de liquidation politique.
Alors que s’ouvre ce mardi 16 mai à Dakar le procès pour viols de l’opposant Ousmane Sonko face à la jeune Adji Sarr, Jeune Afrique revient sur la saga politico-judiciaire qui, depuis 2021, agite le Sénégal.
Condamné en appel par la justice sénégalaise, Ousmane Sonko pourra-t-il ou non concourir en 2024 ? C’est la question que tout le monde se pose désormais.
Officiellement en lice pour la présidentielle de 2024 au Sénégal, Idrissa Seck annonce sa rupture avec la majorité présidentielle et sa démission du Cese.
Faut-il y voir une conséquence du rééquilibrage des forces entre la majorité acquise à Macky Sall et l’opposition ? L’Assemblée tourne en tout cas au ralenti depuis les législatives de juillet.
Alors que Karim Wade vient de déposer une demande d’inscription sur les listes électorales, le casse-tête se pose à nouveau, pour lui comme pour Khalifa Sall : pourront-ils concourir à la prochaine présidentielle ?
Au terme d’une conférence de presse interminable ponctuée d’anecdotes savoureuses, le chef de Rewmi a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle de 2024.
Le parquet général a fixé dans l’urgence la date de l’audience en appel de l’opposant sénégalais. Une décision qui suscite bien des interrogations, en particulier sur sa légalité.
Après avoir fait miroiter pendant quelques heures, sur Facebook, sa candidature à la présidentielle, Idrissa Seck a effacé son statut… tout en sanctionnant un cadre de Rewmi favorable à une troisième candidature de Macky Sall.
À la direction du Front patriotique rwandais, les deux principaux adjoints du président viennent de céder leur place. Mais le « chairman », lui, rempile pour un nouveau mandat.
La première tranche de la ville futuriste portée par le chanteur Akon devait être livrée fin 2023. Mais à ce jour, pas un seul coup de pioche n’a été donné. Premier volet de notre enquête.
Face au retard pris par le chantier de la smart city, les autorités sénégalaises ne dissimulent plus leur agacement, lequel pourrait bien, sous peu, sonner le glas du Wakanda rêvé par Akon. Deuxième volet de notre enquête.
Philanthrope auto-proclamé, Akon a multiplié les annonces ambitieuses au profit du continent au cours de la dernière décennie. Mais face à l’absence de résultats tangibles, des voix s’élèvent pour dénoncer une possible supercherie. Troisième et dernier volet de notre enquête.
Au terme d’un long feuilleton judiciaire, l’opposant sénégalais a été condamné pour diffamation. Mais sa peine lui permet de demeurer éligible en vue de la prochaine présidentielle.
Poursuivi pour diffamation, l’opposant sénégalais a écopé de deux mois de prison avec sursis dans le procès que lui intentait Mame Mbaye Niang, le ministre du Tourisme. Une condamnation qui préserve sa capacité à être candidat à la présidentielle de 2024.
Après avoir purgé 31 mois de prison pour terrorisme, le sexagénaire, rendu célèbre par le film « Hotel Rwanda », a vu sa peine commuée par le président Paul Kagame.
Apparue le 16 mars parmi les VIPs du « giga meeting » de l’opposition à Dakar, l’ancienne alliée de Macky Sall saura-t-elle se faire accepter par sa nouvelle famille politique ?
Plusieurs jours durant, l’opposant sénégalais et son entourage ont agité la thèse d’une « tentative d’assassinat », sans qu’aucun élément tangible permette de la corroborer.
Au Sénégal, entre méthodes policières parfois excessives, provocations assumées du candidat de Pastef et scènes d’émeutes répétées, le procès opposant Ousmane Sonko au ministre Mame Mbaye Niang met Dakar en émoi.
À un an du scrutin présidentiel, les annonces de candidature de leaders de l’opposition se succèdent. De quoi compromettre leur accès à un second tour ?
Hier encore fidèle parmi les fidèles, l’ancienne Première ministre du chef de l’État sénégalais est devenue l’une de ses adversaires les plus décidées. Un bras de fer aujourd’hui sans merci.
Le chef de l’État sénégalais aura-t-il le droit de se représenter à la présidentielle de 2024 tout en respectant la Constitution ? D’éminents juristes se sont penchés sur la question.
Dur retour de bâton pour l’ex-égérie de la bonne gouvernance. D’après des indiscrétions publiées dans la presse sénégalaise, la candidate à la présidentielle serait pointée par l’Inspection générale d’État pour sa gestion passée du Conseil économique, social et environnemental.
Amadou Ba, le Premier ministre, tente de remobiliser l’électorat dakarois dans la perspective de la présidentielle de 2024. D’ici là, l’opposition, dont la motion de censure a échoué, parviendra-t-elle à surmonter ses clivages ?
C’est désormais officiel : transfuge de la majorité sans être adoubée par l’opposition, Aminata Touré entend se porter candidate à la présidentielle de 2024.
Après être intervenu sur la chaîne YouTube d’un activiste sénégalais hostile au pouvoir, le journaliste Pape Alé Niang a vu sa mise en liberté sous contrôle judiciaire révoquée.
Depuis le 18 novembre, deux sous-officiers des forces sénégalaises de sécurité, Fulbert Sambou et Didier Badji, demeurent introuvables. À Dakar, les spéculations vont bon train…