Pour le présdient gabonais, Ali Bongo Ondimba, qui l’a nommé Premier ministre, Daniel Ona Ondo est l’homme de la situation. Sa mission : mener à bien des réformes délicates, destinées à améliorer les conditions de vie des Gabonais.
Alors que l’élection présidentielle algérienne a enfin été fixée au 17 avril, la classe politique, paralysée, attend toujours de connaître les intentions du président sortant, Abdelaziz Bouteflika.
Décideurs politiques, acteurs économiques, leaders de la société civile, personnalités des médias et de la culture… Jeune Afrique dresse la liste des figures les plus influentes du pays.
Au terme de cinquante jours d’interminables tractations, le Dialogue national a désigné son champion. C’est à Mehdi Jomâa, ministre de l’Industrie sortant, qu’il reviendra de former et de conduire le nouveau gouvernement.
Quatorze mois après sa nomination, et alors qu’il se rend à Damas, ce 28 octobre, pour préparer des pourparlers de paix censés se tenir fin novembre à Genève, le médiateur de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie ne se berce guère d’illusions. Interview.
Du Maroc à l’Égypte, en passant par le Mali et le Niger, les Berbères occupent une place à part. Souvent marginalisée par les États, la culture amazigh a survécu. Au prix d’une lutte constante.
Issus de la société civile, de la classe politique ou du monde des médias, ils auront marqué, par leur action ou par leur influence, la transition démocratique amorcée au lendemain de l’élection de la Constituante, il y a tout juste deux ans.
Crises politique et économique, luttes de pouvoir et angoisses sociales… Depuis la révolution de 2011, le pays apprend la démocratie. S’il s’en sort plutôt mieux que ses voisins libyen et égyptien, il doit cependant rompre le statu quo à tout prix. Un article du J.A. n° 2751 (29/09-05/10).
Bilan, réformes, opposition, pouvoir, critiques, crimes rituels, Mali, islamisme, François Hollande… Quatre ans après son élection, le chef de l’État gabonais répond sans détour aux grandes questions du moment.
Un projet de loi à l’Assemblée nationale constituante crispe une partie des élus tunisiens. L’enjeu est de taille : un libre accès aux archives de l’État pour la commission de lutte contre la corruption…
Un président absent depuis plus de deux mois ? Pas de quoi empêcher l’État de fonctionner. Mais alors que la succession de Bouteflika se profile et que les revendications de la population algérienne se font plus pressantes, le régime va devoir s’adapter pour perdurer.