Les deux capitales les plus rapprochées du monde, séparées par le fleuve Congo, se disputent à coups d’investissements le leadership en matière de hub aérien sous-régional. Qui l’emportera ?
Avec l’annulation de la dette et les signes de reprise de l’économie mondiale, le pays renoue avec une forte croissance. Mais le gouvernement saura-t-il, enfin, tenir ses engagements de réformes ?
Le secteur hôtelier, en plein essor, affiche complet. De nouveaux établissements ouvrent dans les villes et à leur périphérie, pour une clientèle internationale, mais aussi locale.
Le Congo a atteint, le 28 janvier dernier, le point d’achèvement de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE). Résultat : le montant des sommes dues par le pays est réduit de moitié. Et les bonnes surprises s’enchaînent.
Un an après sa création, le concept de « nouveaux villages agricoles » prend forme. Construit à 80 km de la capitale, le premier d’entre eux, Nkouo, est presque opérationnel. Reportage au cœur de ce New Deal rural.
Centrales hydroélectrique ou à gaz : de grands chantiers s’achèvent. S’ils règlent en partie le problème du déficit de production d’électricité, il reste à en assurer le transport et la distribution.
Kinshasa pourrait sans complexe recevoir le titre de capitale musicale de l’Afrique, tant les tubes congolais ont marqué le continent. Retour en rythme sur cinquante ans d’histoire.
Le 23 juin, deux jours après le déraillement du train « Océan », le service avait déjà repris. Sans que soient pour autant éclaircies les raisons du dramatique accident du Chemin de fer Congo-Océan (CFCO), qui a fait au moins 54 morts et plus de 600 blessés.
Le lancement des activités de Hits, au début de 2009, a mis fin à une situation de monopole. Si, en un an, le nouveau venu n’a grignoté qu’une petite part du marché, il aura en tout cas réveillé l’opérateur historique.
Le développement des activités économiques et l’ouverture du pays attirent un nombre grandissant de compagnies. Les transporteurs, dont l’opérateur national Ceiba, s’organisent pour garder – ou élargir – leurs positions.
Sur le marché en plein essor des produits raffinés, les grosses compagnies raflent tout. Elles comptent sur l’État pour assainir le secteur et, partant, mettre les petits opérateurs définitivement hors course.
Pour accéder au statut de pays émergent, l’État investit à tour de bras. Aéroports, routes, hôpitaux, écoles, logements… Revue de détail des principaux projets.
Le secteur pétrogazier reste la locomotive de l’économie. Il est cependant en pleine réorganisation, avec, en particulier, l’ouverture à de nouveaux partenaires et le développement des filières en aval.
Pour les secteurs en plein boom, comme l’automobile ou la construction, la couverture des risques est obligatoire. Et c’est un marché presque vierge à conquérir.