Brillants diplômés dotés d’une riche expérience dans le privé, ces ministres voient la gestion des affaires publiques autrement. Et comptent bien la faire évoluer.
Durement touché par la chute des cours de l’or noir, le pays a tout fait pour limiter les dégâts. Et compte atteindre l’équilibre budgétaire d’ici à deux ou trois ans.
Comme sur la scène politique, une nouvelle génération d’hommes et de femmes est apparue dans le monde des affaires, notamment grâce au dispositif de « local content » du gouvernement… Librada Ela Asumu en est l’illustration.
Comme sur la scène politique, une nouvelle génération d’hommes et de femmes est apparue dans le monde des affaires, notamment grâce au dispositif de « local content » du gouvernement.
Comme sur la scène politique, une nouvelle génération d’hommes et de femmes est apparue dans le monde des affaires, notamment grâce au dispositif de « local content » du gouvernement… Ignacio Nzi Bico Etunu en fait partie.
Comme sur la scène politique, une nouvelle génération d’hommes et de femmes est apparue dans le monde des affaires, notamment grâce au dispositif de « local content » du gouvernement… Manuel Osa Nsue Nsua, patron de la Bange, en est l’exemple.
Comme sur la scène politique, une nouvelle génération d’hommes et de femmes est apparue dans le monde des affaires, notamment grâce au dispositif de « local content » du gouvernement… Gregorio Mesiada en fait partie.
Sur l’île de Bioko comme sur le continent, des villes nouvelles sont en construction. Objectif : mieux répartir les activités économiques sur le territoire.
La prospection reste prometteuse. Pas facile, pourtant, d’attirer des investisseurs quand les coûts d’exploration sont prohibitifs et que les cours du brut s’effondrent.
Riz, viande, huile, boissons, pétrole, biens d’équipement… À São Tomé, on importe tout ou presque, et n’exporte que très peu. Comment faire pencher la balance du bon côté ?
Elle a connu l’âge d’or dans les années 1900, puis un déclin après l’indépendance. Aujourd’hui, la filière cacao se restructure à Sao Tomé. Et vise les marchés porteurs de la gastronomie et du commerce équitable.
Une zone de pêche très étendue, d’immenses ressources halieutiques… mais une activité qui reste un peu trop artisanale. Encore un petit effort, et la mer tiendra toutes ses promesses.
Un port en eau profonde et un aéroport international digne de ce nom ? C’est pour très bientôt. Fini de jouer les petits poucets : pour stimuler son économie, l’archipel voit grand.
Dans le sud-ouest de l’île de São Tomé, la co-entreprise entre l’État santoméen et le groupe luxembourgeois Socfin ressuscite la culture du palmier à l’huile. Face à l’inquiétude légitime des écologistes, qui surveillent de près le développement du projet, la superficie plantée est limitée et les pratiques raisonnées. Objectif : alimenter le marché local et réduire, enfin, les importations.
Introduit au début du XIXe siècle en replacement de la canne à sucre, le cacao a fait la fortune de São Tomé-et-Príncipe. En déclin depuis l’indépendance, la principale filière est en plein redémarrage. À la manœuvre, des milliers de petits producteurs et de rares industriels, parmi lesquels Satocao. En moins de cinq ans, le groupe européen a permis à l’archipel de regagner ses lettres de noblesse auprès chocolatiers les plus exigeants.
Ils irriguent tous les secteurs de l’économie. « Ils » ? Les capitaux qui, de Pékin à Delhi en passant par Ankara, affluent à Libreville. Et montrent que le pays s’est ouvert.
Faiblesse des dépôts, manque d’agences bancaires, microfinance sous-développée… Malgré les mesures incitatives, peu d’habitants ouvrent un compte. Au grand désespoir de l’État de la RDC.
Malgré la chute des cours des matières premières et des recettes en diminution, la croissance reste soutenue. Mais le retard du développement des infrastructures risque d’en limiter l’impact.
Dans la principale région forestière du pays, les activités de transformation du bois se sont développées. Tout comme la valeur ajoutée des produits qui ont pourtant encore du mal à trouver preneur.
L’arrivée des investisseurs et les chantiers en cours ont transformé le département du Nord. Et c’est à Ouesso, son chef-lieu, que se déroulent les cérémonies de la fête nationale du 15 août.
Dès la fin du XIXème siècle, ils ont accompagné Savorgnan de Brazza sur les rives du Pool. Depuis, nombre de « Sénégalais » se sont établis au Congo. Et ne l’ont plus quitté.
Le département accuse de lourds déficits en eau potable, en électricité, en transports… mais il s’équipe et dispose enfin de quelques grands axes bitumés. Photos.