Des petites bouteilles de gin, de vodka ou de whisky, produites localement et vendues environ 1 euro. C’est par ce biais que le groupe français veut rattraper son retard sur le continent.
Pour dénoncer l’importation de concentrés chinois par ses rivaux, l’entreprise menace de ne plus passer de contrats avec les cultivateurs locaux. Une crise qui révèle la fragilité de la filière.
Qu’elles soient publiques ou privées, les sociétés de gestion de l’eau sont souvent confrontées aux mêmes défis. Jeune Afrique passe en revue trois exemples emblématiques.
Le négociant français Céréalis, très actif dans l’exportation de blé vers l’Afrique de l’Ouest et du centre, prévoit d’atteindre un volume d’un million de tonnes en 2015. Porté par un marché en forte croissance, l’entreprise veut doubler ce chiffre d’ici 10 ans.
Malgré la coupure d’eau géante de 2013 à Dakar, le gouvernement réitère sa confiance à la SDE et lui confie même plus de responsabilités. Elle devra répondre à la consommation croissante des prochaines années.
Pierre-André Térisse, le directeur général pour l’Afrique de Danone, a répondu aux questions de « Jeune Afrique » sur les ambitions et défis du groupe agroalimentaire français dans cette région.
Retiré de la politique active, l’ancien ministre de l’Écologie de Nicolas Sarkozy lance un « plan Marshall » censé aboutir à l’électrification de tout le continent. Mais il se montre fort évasif sur les soutiens politiques dont il dispose. Et sur le financement – 200 milliards d’euros au total – de sa future agence.
Selon l’économiste américain Jeremy Rifkin, l’Afrique est le continent le plus propice à l’essor de la troisième révolution industrielle et d’une société du coût marginal zéro, ses deux théories phares, qu’il présente en réponse au changement climatique.
L’huilier français, ex-Sofiprotéol, se rapproche du groupe Advens pour faire naître le nouveau leader du secteur. Et mise sur l’amélioration des semences et sur le marché chinois pour revivifier la filière.
L’ancien ministre français Jean-Louis Borloo a présenté ce mardi en présence du président François Hollande son plan pour l’électrification de l’Afrique, qui nécessitera au total 200 milliards d’euros de financements sur une dizaine d’années.
Le spécialiste de la gestion de l’énergie Schneider s’allie avec l’institution financière de développement britannique CDC, et d’autres partenaires, au sein d’un fonds qui visera des entreprises innovantes dans le domaine de l’accès à l’énergie en Afrique.
Mis en difficulté par l’ouverture du marché local à l’importation en 2013, le groupe rénove la Compagnie sucrière sénégalaise pour faire face à la concurrence. Reportage à Richard-Toll.
Le capital-investisseur Actis et le groupe d’énergies renouvelables Mainstream lancent Lekela Power, une plateforme dédiée au solaire et à l’éolien en Afrique.
La société cotonnière burkinabè Sofitex a signé le 13 février une convention de financement de 70 millions d’euros pour la campagne en cours avec un pool bancaire international mené par Société générale en partenariat avec la Société financière internationale (SFI).
Deux géants de l’agroalimentaire, l’américain Mars et le français Danone, viennent de lancer un fonds d’appui à l’agriculture familiale dans les pays en développement. Opéré par la structure d’investissement Livelihoods, ce fonds entend investir 120 millions d’euros au cours des dix prochaines années.
Le leader français des oléagineux s’intéresse aux palmiers, dont le produit, certes controversé, est très consommé au sud du Sahara. Rebaptisé Avril, le groupe dit vouloir limiter son impact écologique.
« Scaling up solar » : c’est le nom du programme que présentera le Groupe de la Banque Mondiale le 28 janvier. Un ensemble de services et d’aides pour doper le développement du solaire en Afrique. Explications du directeur Infrastructures Afrique de l’IFC.
En 2014, les espoirs de prospérité de l’Afrique ont été éprouvés par des crises économiques, sécuritaires et sanitaires. Et si elle trouvait, au coeur même de ces bouleversements, les clés pour franchir un nouveau cap de son développement ?
Le spécialiste français de l’huile, actif notamment au Maroc et au Sénégal, a annoncé le mercredi 07 janvier une refonte totale de son organisation qui passe par un changement de nom, de logo mais aussi de statut juridique.
Le producteur d’huile a planté quelque 20 000 hectares de tournesol au Maroc depuis son entrée en février 2012 au capital de Lesieur Cristal, le leader du secteur dans le royaume. Sofiprotéol vise 50 000 hectares avant 2020.
Deux ans après l’accord signé entre Dreyfus et Abidjan, l’enthousiasme suscité par l’arrivée de la multinationale est retombé. Visant l’autosuffisance, l’État compte garder le contrôle du secteur.
Le leader local de la bière a vu ses bénéfices fondre de 43 % au premier semestre, pénalisé par les taxes et les interdictions visant la vente d’alcool. Mais il devrait remonter la pente en 2015.
Toujours plus de galeries commerciales en centre-ville, avec toujours plus de boutiques… Les clients ont davantage de moyens, mais n’est-ce pas un peu trop ?
Secoué sur les marchés très concurrentiels du continent, le géant anglo-néerlandais souhaite renforcer ses positions. Sa stratégie pour rester sur le devant de la scène ? S’appuyer sur des acteurs locaux.
Le holding veut s’imposer comme le premier opérateur privé africain dans son secteur. Mais certains experts doutent des capacités industrielles du groupe adossé à un fonds d’investissement.
Danone a annoncé la nomination d’un nouveau directeur général pour l’Afrique, zone stratégique où le leader mondial des produits laitiers compte réorganiser ses activités.
Le Kenya va mettre à la disposition du Rwanda 30 mégawatts de capacités électriques à partir de juillet prochain. Une ligne à haute tension reliant les deux pays via l’Ouganda devra être construite.