Spécialiste des politiques industrielles, le président de l’Université Paris-Dauphine PSL – qui compte un campus à Tunis – présente les ambitions de la grande école française et décrypte sans complaisance les grands enjeux commerciaux et stratégiques des pays africains.
Privés de visas depuis mars 2020 au nom de la politique « zéro Covid » du gouvernement de Xi Jinping, des milliers de jeunes Africains n’ont pu reprendre leurs cours en présentiel. Certains espèrent toujours un retour quand d’autres abandonnent leurs études.
Lancé par le Tunisien Kaïs Mabrouk, ce réseau rassemblant huit établissements francophones privés se veut la réplique du célèbre programme interuniversitaire de l’Union européenne. Les institutions du continent ont également engagé des initiatives similaires.
Depuis plus d’un siècle, le label d’excellence AACSB récompense les meilleures écoles de commerce. Accordé à l’issue d’un examen approfondi de la formation pédagogique et des processus de fonctionnement, il constitue le sésame vers la reconnaissance internationale.
Conforté par l’urbanisation progressive et le besoin croissant d’une gestion intelligente de l’énergie, la multinationale française prévoit d’étendre ses activités en Afrique subsaharienne.
Après dix ans consacrés à la modernisation de ses infrastructures et à la conclusion de prestigieux partenariats, l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny, sous l’impulsion de Moussa Kader Diaby, s’emploie à consolider son internationalisation.
Le directeur général délégué pour la coordination des campus de l’Icam revient sur une implantation de vingt ans au Cameroun et au Congo et livre les axes de la stratégie de l’école pour les cinq prochaines années.
Connues généralement du grand public pour leurs actions humanitaires, plusieurs premières dames africaines ont aussi une grande expertise dans l’analyse économique, les stratégies de développement et le secteur privé. Tour d’horizon.