Face aux multiples propositions de réduction de leurs quotas de production, les pays africains peinent à faire entendre leur voix. Certains finissent par claquer la porte du cartel.
La multinationale anglo-australienne et le gouvernement angolais sont en cours de finalisation d’un nouveau contrat d’investissement pour la prospection et l’exploration de métaux de base.
Les deux groupes pétroliers britanniques ont signé un contrat de plusieurs millions de dollars pour la gestion et la maintenance des infrastructures du projet Grand-Tortue Ahmeyim (GTA).
Visé par des appels au boycott au Maroc et en Égypte, le géant américain de la restauration rapide confirme une baisse des recettes « en raison de la guerre et de la désinformation ».
Connexions politiques, conseillers, fidèles collaborateurs et nouveaux piliers… Qui sont les relais avec lesquels le dirigeant, à la tête du géant pétro-gazier français depuis 2014, pilote la stratégie africaine du groupe ?
La Commission des délits économiques et financiers (EFCC) veut passer au crible les comptes du tycoon nigérian dans le cadre d’une enquête sur des opérations de change douteuses.
Le chef de la junte a opposé son veto au rachat du producteur gabonais Assala Energy afin de démontrer « la souveraineté » de Libreville dans le secteur pétrolier.
Entre exploration et production, retrait stratégique et transaction astronomique, l’année qui s’achève a été riche pour des groupes comme Sonatrach, TotalEnergies ou Eni. Rétrospective.
Aux manettes du premier accélérateur public de start-up en Algérie, cet expert reconnu par ses pairs veut libérer le potentiel des jeunes pousses algériennes. Quitte à employer des méthodes musclées.
À Abidjan, les chauffeurs menacent de revoir leurs tarifs à la hausse alors qu’un projet de nouvelle taxe prévoit de prélever 4 % du prix d’une course. De leur côté, les plateformes négocient pour éviter qu’une crise s’enracine.
Entre les engagements à sécuriser les opérations et les incitations aux investissements, le président de la transition gabonaise veut relancer une manne pétrolière en déclin.
Avec un projet d’investissement de 6 milliards de dollars, le PDG du pétrolier français s’est engagé sur le long terme avec le premier producteur africain d’or noir.
Surendettement modéré, confiance renouvelée du FMI, croissance prometteuse mais des secteurs essentiels qui tardent à décoller… À la veille de l’élection présidentielle en RDC, « Jeune Afrique » dresse un panorama du bilan économique du président sortant.
Traditionnellement leader sur ce marché céréalier en Afrique du Nord mais aussi très présent dans l’Ouest, Paris a été progressivement dépassé par un concurrent de taille : Moscou.
Alors que le pays est en proie à de grandes difficultés d’approvisionnement en carburant, le gouvernement assure que le retour à la normale est imminent. Mais des questions demeurent sur les raisons de cette pénurie.
Formé à Paris et à Londres, le dirigeant sénégalais a réalisé l’essentiel de sa carrière au sein du géant allemand DHL, leader mondial du transport et de la logistique. Rencontre à Dubaï où il pilote la filiale Afrique et Moyen-Orient du groupe.
Si une voie de négociation en faveur d’un allègement des sanctions a été ouverte par les membres de la Cedeao, réunis à Abuja le 10 décembre, celles-ci ne sont toujours pas levées. Le Niger s’engouffre dans une situation économique de plus en plus difficile, réduisant considérablement ses perspectives de reprise. Décryptage.
Freiné par des reports à répétition, le complexe pétrochimique du tycoon nigérian, inauguré en mai dernier, s’apprête à entrer en service après la réception de la première cargaison de brut.
Suspectés d’avoir versé des pots-de-vin en Angola, le géant genevois du négoce pétrolier et trois personnes physiques font l’objet d’une plainte devant le tribunal pénal fédéral suisse.
Si la première ville des Émirats arabes unis s’impose peu à peu comme un hub incontournable du business africain, cette réussite permise aussi par l’opacité financière, le contrôle de la presse et les écarts salariaux ne se fait pas toujours dans la plus grande égalité.
D’abord séduites par la connectivité et les facilités fiscales de Dubaï, les entreprises africaines qui y ont installé leur siège voient désormais dans le hub émirati un pôle d’attraction pour leurs meilleurs éléments.
Avec un investissement imminent de 25 millions d’euros, la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé soutient le promoteur marocain dans son projet phare à Abidjan.
Connectivité mondiale, zones franches attractives, infrastructures grandioses… Dès sa naissance, l’émirat a tout fait pour se démarquer de l’économie tout-pétrole de ses voisins. Et attirer ainsi la fine fleur du business international.
Le groupe koweitien Al Shaya, qui distribue les deux marques via sa filiale locale, réitère sa volonté d’ « optimiser son potentiel sur le territoire ».
Ingénieur d’origine ivoirienne, formé en France, au Canada et aux États-Unis, il prend les rênes de PwC et réalise son « rêve américain » après une ascension fulgurante.
Visé par une procédure judiciaire pour des soupçons de détournement de fonds, l’homme d’affaires cède sa place après 18 ans à la direction de la principale organisation patronale du pays.
Dix ans après sa création par Bob Diamond et Ashish Thakkar, le groupe de services financiers, contraint de mener un vaste programme de désinvestissement, peine à voir le bout du tunnel.
Malgré son retrait d’un projet et des contraintes opérationnelles sur un autre au Sénégal, le groupe britannique a d’autres perspectives en Angola, en Égypte et en Mauritanie pour se relancer.
Le développement économique du continent passera-t-il par ses revenus pétro-gaziers ou par ses énergies renouvelables ? JA croise les points de vue contraires du conseiller énergie de Macky Sall avec celui du président de la commission transition énergétique du patronat marocain.
Épinglés par l’autorité fiscale sénégalaise, autour de la transaction de 2020 concernant le gisement pétrolier, Woodside Energy reste silencieux tandis que Capricorn Energy promet de se défendre.