Il a réussi à devenir l’incontournable numéro deux de BMCE Bank of Africa au Maroc comme au sud du Sahara… dans l’ombre d’Othman Benjelloun. Rencontre avec un banquier discret, fidèle et ambitieux.
En seulement trois ans, le marocain Banque populaire a rattrapé ses concurrents en Afrique de l’Ouest et dépassé Société générale. Et le pilote de cette expansion n’entend pas lever le pied.
Alors que la croissance du royaume atteint 5 %, que les dépôts augmentent de 7 %, les établissements ne parviennent pas à prêter à l’économie locale. Un phénomène nouveau qui inquiète les autorités monétaires.
Le PDG de la Royal Air Maroc a réussi, en quelques années, à redresser la barre d’une compagnie qui était au bord de la banqueroute. Fort de ce succès, et bien que l’équilibre reste fragile, il compte développer ses liaisons sur le continent. Jeune Afrique l’a rencontré.
Les principales banques du royaume chérifien affichent de faibles progrès sur les six premiers mois de l’année. En cause : le ralentissement des crédits à l’économie et la forte croissance des dossiers en souffrance. Le point.
Le principal actionnaire de la Samir, unique raffineur du royaume, s’est lancé dans une partie de poker menteur avec les autorités pour se tirer d’une grave crise financière. Mais elle tourne à son désavantage…
Le deuxième groupe bancaire du Maroc devient l’un des premiers mutualistes du continent grâce à un jeu de participations croisées. Les enjeux d’une opération à 1 milliard d’euros.
Retour à l’équilibre budgétaire, suppression des subventions sur les produits de base, réduction des inégalités… Le ministre des Finances explique la stratégie du gouvernement.
Vivre parmi les habitants, participer à leurs activités quotidiennes, c’est possible, et même furieusement à la mode. Zoom sur ce tourisme « solidaire », qui contribue à endiguer l’exode rural.
Ils sont doux au palais ou flattent les narines… Deux cents produits du terroir font l’objet d’un traitement de faveur. Pour le plus grand bien de l’économie des régions.
Absence de grands contributeurs comme l’Algérie ou l’Afrique du Sud, erreurs de communication, vision hésitante de la nature des participations futures… Le lancement du fonds Africa50, initié par la Banque africaine de développement et domicilié à Casablanca, a connu un démarrage poussif. Explications.
Basé à Casablanca, le fonds Africa50 spécialisé dans les infrastructures a tenu le 29 juillet son assemblée générale constitutive. 20 pays africains ont apporté près d’un milliard de dollars à ce véhicule d’investissement initié par la Banque africaine de développement.
Le deuxième transporteur français se voit empêché de rapatrier 35 millions d’euros bloqués par l’État algérien. D’aucuns y voient une manière pour celui-ci de défendre la compagnie nationale…
Hind Hayek, analyste chez Valoris Management, se penche pour « Jeune Afrique » les perspectives de la Bourse de Casablanca pour la seconde moitié de l’année 2015.
Les deux Bourses veulent réaliser une convergence réglementaire et technique en vue d’un rapprochement entre les marchés casablancais et celui de l’UEMOA. Objectif : intensifier les transactions, permettre les doubles cotations et créer une bourse commune pour les matières premières. Les détails.
Après deux échecs, Quick repart à l’assaut du Maghreb en ouvrant des points de vente en Tunisie et au Maroc. Mais le français fait face, comme McDonald’s et Burger King, à un gros point de blocage : l’Algérie.
Carlos Tavares, le patron de PSA Peugeot-Citroën a livré, vendredi 19 juin à Rabat, les détails de son plan ambitieux d’implantation au Maroc. Du pain bénit pour le royaume chérifien.
La scientifique française Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine en 2008, en est convaincue : l’Afrique a fait de vrais progrès dans la lutte contre le VIH. Mais le combat est loin d’être gagné.
Mais il est illusoire de croire qu’un traitement sera
bientôt disponible.
À Tarfaya, Nareva et Engie ont construit en plein désert le plus grand parc éolien du continent africain, capable d’éclairer une ville de 1,5 million d’habitants. Reportage.
À Casablanca comme à Tunis, les titres récemment cotés ne tiennent pas leurs promesses, connaissant presque tous des chutes vertigineuses. À qui la faute ?
Dix ans après leurs premières opérations d’expansion au sud du Sahara, les grands établissements chérifiens commencent à tirer les pleins bénéfices de leurs investissements. Le point.
La présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a sorti le patronat de sa torpeur, devenant un interlocuteur privilégié du gouvernement et des syndicats. Sans surprise, elle vient d’être réélue.
Introduit à un cours de 952 dirhams en 2007, le titre du promoteur immobilier CGI sera radié de la Bourse de Casablanca à un prix d’à peine 725 dirhams. Une moins-value qui pourrait lourdement affecter certains porteurs du titre, à commencer par l’assureur RMA Watanya.