Les candidats à la concession du port se pressent, alors que la dernière tranche ne sera livrée qu’à la fin de l’année et que l’appel d’offres n’est toujours pas bouclé. Pour l’instant, les Marocains tiennent la corde.
Le Salon international de l’agro-alimentaire (Sial), qui a eu lieu du 17 au 21 octobre à Paris, a été l’occasion pour le Maghreb de mettre en avant ses traditions culinaires, source de croissance et d’exportation. Plus en retrait, les pays d’Afrique de l’Ouest ne connaissent pas encore le même succès.
Du 2 au 17 octobre, le Mondial de l’automobile, à Paris, présente les dernières innovations d’une industrie en crise, mais qui pourrait s’affirmer, dans les années à venir, comme un secteur qui compte dans les économies africaines.
La ruée des pays et des groupes étrangers vers l’or vert africain inquiète experts et ONG. Reste que le phénomène est difficilement quantifiable, nombre d’annonces d’accords n’étant pas suivies d’effet.
Spécialiste belge du droit à l’alimentation, il regrette les discours de bonnes intentions et appelle à la réforme des règles du commerce mondial, qui, par leur iniquité, écartent d’office le continent africain.
La demande mondiale en engrais, comme celle de l’Afrique, ne cesse de croître. Devenu stratégique pour la sécurité alimentaire, le secteur des fertilisants offre un marché en totale ébullition.
L’enquête parue dans Jeune Afrique le 29 août a suscité les réactions de deux acteurs impliqués, de près ou de loin, dans la création de centres de formation.
Le Sénégalais Thiendaté Bouyo Ndaw est le nouveau directeur général de Sunéor. Il remplace Christian Samra, démissionnaire et à la tête de l’entreprise depuis février 2009.
Depuis 2008, la capitale sénégalaise compte quatre hôtels haut de gamme, et un cinquième doit voir le jour d’ici à 2014. Les professionnels s’adaptent à ce surcroît de concurrence.
Le pays accueillera en 2011 des nouveaux centres de formation professionnelle portés par deux organismes hexagonaux, la Fondation Concorde et l’AFD. Des initiatives qui ciblent le même public, mais menées sans aucune concertation.
Confrontée à des défis sanitaires majeurs, l’Afrique attire toujours plus d’investissements. Médicaments, formation, infrastructures…Les groupes privés jouent un rôle prépondérant dans le développement du secteur de la santé.
Quinze multinationales du Nord se partagent plus de la moitié des 600 milliards d’euros du marché mondial des médicaments. Mais l’arrivée massive des génériques, qui représentent déjà un volume d’affaires de 68 milliards d’euros (122 milliards prévus en 2015), a mis sur le devant de la scène de nouveaux acteurs.
Au risque de mécontenter les autorités religieuses, le gouvernement sénégalais entend tenir bon après sa décision d’interdire la mendicité dans les rues de Dakar.