Auto-financement de l’organisation, conflits régionaux et présentation des nouveaux venus… Tour d’horizon de la première journée du 30e sommet de l’UA.
Liste électorale, constitution, élections, sécurité… l’envoyé spécial de l’ONU en Libye, qui a répondu à JA en marge du 30e sommet de l’Union africaine, à Addis-Abeba, est optimiste, même s’il sait que de nombreux défis restent à relever pour aboutir à des élections avant la fin de l’année.
Les dirigeants du continent se retrouvent ce dimanche pour un sommet axé sur la réforme de l’organisation. Une nouvelle ère, sous la présidence du Rwandais Paul Kagame.
Seul candidat en lice après le retrait de l’Algérie, le royaume a été élu à la majorité ce vendredi. Mais d’autres pays africains font leur entrée dans ce Conseil.
Manuel Domingos Augusto, ministre angolais des Affaires étrangères répond à JA sur les questions de corruption, de diplomatie, de politique intérieure ou sur l’Union africaine, en marge du Sommet de l’Union africaine, qui se tient à Addis Abeba jusqu’au 29 janvier.
Sous la présidence de Paul Kagame, l’organisation africaine entend accélérer sa réforme lors du sommet qui se tient en Éthiopie jusqu’au 29 janvier. Mais d’autres dossiers seront mis sur la table. Tour d’horizon des enjeux de ce 30e sommet de l’UA.
Quelles étaient les motivations du commando arrêté pendant la période de Noël ? Après avoir évoqué un coup d’État manqué, les autorités parlent désormais d’« acte de terrorisme international ». JA a mené l’enquête.
Qui sont les commanditaires présumés du coup d’État déjoué fin décembre ? Portrait des principales personnalités désignées par les autorités équato-guinéennes.
Qui sont les « mercenaires » arrêtés par les autorités équato-guinéennes fin décembre ? Tchadiens, Centrafricain ou Équato-guinéens, tous ont en commun un passé de militaire et certains ont des liens au plus haut niveau dans leur pays d’origine.
Un putsch a été déjoué en Guinée équatoriale dans la nuit du 27 au 28 décembre, indique une source proche du régime. Une partie du commando aurait été arrêtée au Cameroun. D’autres membres sont toujours en fuite.
Depuis son accession au pouvoir, en septembre 2017, le nouveau président angolais a su s’imposer dans un système qui semblait verrouillé par l’ancien régime. Avec le soutien de piliers du MPLA, l’ex-parti au pouvoir, et parce qu’il vient lui-même du sérail.
C’est une curiosité qu’a mise en évidence le verdict rendu à l’issue du procès intenté à Teodorín, le vice-président équato-guinéen : dans l’Hexagone, la justice peut ordonner la vente de biens saisis, mais n’a rien prévu pour que l’argent ainsi récupéré soit reversé aux victimes des détournements.
Limogée le 15 novembre de la tête de la compagnie pétrolière nationale, la fille de l’ancien président José Eduardo dos Santos a publié un communiqué dans lequel elle fait le bilan de son année passée à la Sonangol.
Publié par l’Unesco, le Rapport mondial de suivi de l’éducation 2017-2018 s’est penché sur la manière dont les États devraient « rendre des comptes » dans ce domaine. En effet, peu de pays, notamment parmi ceux en développement, réalisent un suivi de leurs actions. Et les résultats s’en ressentent…
Entre autres critiques, le Quartet antiterroriste (ATQ, composé de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis, de Bahreïn et de l’Égypte) accuse Doha de soutenir des organisations ou des personnalités liées à des mouvements terroristes.
Le nouveau président angolais João Lourenço devra jouer serré pour mener à bien ses réformes économiques et institutionnelles. Avant de partir, son prédécesseur a verrouillé le système à son avantage.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des check-up réguliers. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les chefs d’État africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Et s’ils sont vraiment malades, ils ne l’avouent qu’en dernier recours. Jeune Afrique a passé en revue l’état de santé de dix-huit dirigeants du continent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent.
Certains courent, d’autres nagent, tous ou presque font des visites médicales régulières. Mais quels que soient leur âge et leur forme, les présidents africains répugnent à dévoiler leur état de santé. Jeune Afrique vous propose un check up continental de ceux qui nous gouvernent, ou gouvernaient, dans le cas de François Bozizé.
Jusqu’où s’étend le devoir de réserve des médecins de chef d’État ? Certains, dont dernièrement celui de Nelson Mandela, sont accusés d’avoir rompu le serment d’Hippocrate.
Alors que les résultats provisoires des élections générales du 23 août, contestées par l’opposition, donnent vainqueur le MPLA et son nouveau leader João Lourenço, la chercheuse à l’Institut sud-africain des relations internationales Paula Cristina Roque annonce une nouvelle ère pour le pays même si, dit-elle, les proches de l’ancien président devraient continuer de tirer les ficelles en coulisses. Interview.
À moins d’une semaine des élections générales, Isaías Henriques Ngola Samakuva, le candidat de l’Unita, espère convaincre les Angolais qu’il est une alternative crédible au MPLA – au pouvoir. Interview.