Pour éviter l’embrasement, l’État hébreu a renoncé au nouveau dispositif de sécurité aux abords de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem. Mais les Palestiniens et le monde arabe ne décolèrent pas.
Dix ans après avoir fui Gaza tombé sous la coupe du Hamas, l’ancien chef de la sécurité du Fatah, Mohammed Dahlan, pourrait revenir diriger le territoire. Son atout ? Sa proximité avec certaines puissances arabes de la région.
En cédant aux pressions de ses alliés orthodoxes opposés à la création d’une zone mixte de prière au Kotel, Netanyahou s’est attiré les foudres du courant libéral, majoritaire dans le monde juif.
Près de 1 700 prisonniers palestiniens se montrent solidaires du mouvement de grève de la faim lancé mi-avril par Marouane Barghouti. La popularité de l’ancien chef du Fatah en inquiète plus d’un.
Cinq ans après avoir été libéré par Tel-Aviv, cet « extrémiste » notoire, dixit les responsables sécuritaires israéliens, prend la tête du mouvement islamiste à Gaza.
Empêtré dans une série d’affaires de corruption, le chef du gouvernement israélien pourrait finir par être inculpé. Et contraint à la démission. Comme en rêvent à haute voix ses adversaires.
En échange de l’évacuation d’une petite colonie de Cisjordanie, l’extrême droite tente de faire voter une loi facilitant l’annexion de territoires palestiniens. Au risque d’exposer le pays à des sanctions de l’ONU.
Juif pratiquant, l’époux d’Ivanka Trump s’est imposé comme l’un des personnages clés de l’entourage du président américain. Au point que celui-ci songe à en faire son émissaire au Proche-Orient.
Le président de l’Autorité palestinienne a été reconduit sans surprise à la tête du Fatah. Mais même s’il est débarrassé – temporairement – de ses opposants, sa succession reste un dossier brûlant.
Euphorique après l’élection du candidat républicain, l’extrême droite israélienne rêve déjà d’enterrer tout projet d’État palestinien. Mais elle va peut-être un peu vite en besogne.
Au vu des tensions avec l’administration Obama, l’aide militaire record obtenue par Netanyahou semble relever de l’exploit. Mais certaines clauses de l’accord en relativisent l’ampleur.
Même s’il avait annoncé sa venue la veille, le président de l’Autorité palestinienne peut être considéré comme l’invité surprise des funérailles de Shimon Peres, vendredi septembre.
Depuis la guerre de l’été 2006, l’État hébreu et le Hezbollah se préparent à une nouvelle confrontation. Pour l’instant, le conflit syrien retarde l’échéance. Mais pour combien de temps encore ?
Exaspérés par les calculs politiciens et l’alarmisme à tout-va de Benyamin Netanyahou, d’anciens hauts responsables de l’armée sont désormais en première ligne pour le faire tomber.
La tournée africaine du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, qui s’achève ce jeudi, fut riche en symboles. En misant sur la lutte antiterroriste et le partage de la mémoire, l’État hébreu espère regagner sa place sur le continent. Et renforcer sa posture sur la scène internationale.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, entame ce lundi, une visite de cinq jours dans quatre pays d’Afrique subsaharienne. Très attendue, sa tournée sur le continent est la première d’un chef de gouvernement israélien depuis 1987.
On savait le président Obama secrètement excédé par la politique de Netanyahou à l’égard des Palestiniens. Son ambassadeur à Tel-Aviv, lui, s’est montré beaucoup plus explicite.
D’ici à 2017, Berlin achèvera la livraison à Tel-Aviv de trois nouveaux sous-marins à capacité nucléaire qu’il a entièrement ou partiellement financés. Est-ce bien raisonnable ?
Le 4 novembre 1995, le jour où Yitzhak Rabin est assassiné, Yossi Beilin, son négociateur attitré et ministre israélien de l’Économie, est à New York en compagnie de la consule générale d’Israël, Colette Avital, et de l’écrivain Amos Oz. Ironie du sort, « ce jour-là, précise-t-il, je venais d’achever deux ans de pourparlers avec Mahmoud Abbas » (alors président du Comité exécutif de l’OLP).
Il avait ouvert la voie à une réconciliation historique avec les Palestiniens en signant les accords d’Oslo avec Arafat. Mais son assassinat par un extrémiste juif le 4 novembre 1995 a ruiné les espoirs de paix. Et laissé la gauche israélienne orpheline. Portrait-itinéraire d’un chef de guerre mué en leader visionnaire.
Le troisième lieu saint de l’islam est-il menacé, comme l’affirment les Palestiniens pour justifier leur soulèvement ? Tel-Aviv assure que non. Qu’en est-il exactement ?
Netanyahou promet la « tolérance zéro » envers les colons extrémistes coupables d’actes anti-Arabes. Oubliant un peu vite que sa politique d’annexion tous azimuts a contribué à leur émergence.
Les deux camps seraient en pourparlers pour prolonger le cessez-le-feu. Mais alors que l’État hébreu semble jouer l’apaisement, les islamistes se préparent déjà à un nouvel affrontement…
Realpolitik oblige, l’État hébreu s’est résolu à négocier une paix froide à sa frontière avec les rebelles islamistes syriens, mais aussi à Gaza avec le Hamas. Analyse.
À défaut de peser réellement sur l’économie, la campagne de boycott de l’État hébreu lancée il y a près de dix ans a ouvert la voie à l’idée de sanctions économiques internationales.