Sampler ou plagier ? Pris les doigts dans le pot de confiture, le rappeur américain a dû indemniser les compositeurs (l’un Égyptien, l’autre Suisse) dont il s’était « inspiré » largement dans « Big Pimpin’ » et « Versus ».
Dans son roman « Le Désastre de la maison des notables », l’autrice tunisienne réhabilite la figure du penseur et syndicaliste tunisien Tahar Haddad. Féministe avant l’heure et mort dans le dénuement en 1935. Le livre vient d’obtenir le Prix de la littérature arabe créé par la Fondation Lagardère et l’Institut du monde arabe.
Dans son nouveau roman, « Le Bastion des larmes », sélectionné, en France, pour de nombreux prix littéraires, l’écrivain marocain revient sur ses thèmes favoris : la pauvreté, l’homosexualité, les fractures sociales, l’amour… Et s’affirme en défenseur de ceux que l’on rejette.
L’anthropologue-chercheur, qui s’est distingué par son travail académique sur l’immigration, se penche, dans « Les Princes de Cocagne », sur l’histoire de ceux venus s’installer dans la France rurale. L’« Arabe des champs », un sujet peu abordé par la recherche.
Dans son nouveau roman, l’écrivain algérien exalte la notion du vivre ensemble, malgré nos différences. Ses réponses aux questions politiques vont dans le même sens.
À travers mots et expressions typiques du parler de son pays, Emna Yahia Belhaj décortique le présent et ses contradictions dans un livre, « 80 mots de Tunisie », aux éditions L’Asiathèque.
Dans « Ces soleils ardents », son premier roman, l’auteur, né en Côte d’Ivoire en 2001, narre les parcours croisés d’Iro et de Thierry, étudiants à l’Université Félix-Houphouët-Boigny d’Abidjan. Interview.
Avec son nouveau roman aux accents théâtraux, l’auteur ivoirien à la verve tranchante revient sur l’occupation de l’église Saint-Bernard, à Paris, en 1996. Et ravive la lutte.
La nouvelle exposition permanente du musée marseillais offre des clés pour comprendre les représentations du passé et les enjeux régionaux du pourtour méditerranéen.
Avec « La Table du Nord », un livre de recettes issues des sept gouvernorats du septentrion du pays, la cheffe dévoile quelques secrets du patrimoine culinaire tunisien.
Après avoir raconté les artistes contemporains, le réalisateur d’origine marocaine Dan Assayag revient sur les parcours édifiants de grands athlètes africains.
Phénomène du Salon international de l’édition et du livre de Rabat, l’auteur saoudien de fantasy et de science-fiction amène de nombreux jeunes à la lecture.
Diffusé en Afrique grâce au réseau Canal Olympia, « La Lumière des femmes » montre comment de simples villageoises, formées à Dakar, deviennent le moteur du changement, et comment le progrès passe par l’électricité.
Phénomène littéraire stupéfiant, la jeune romancière algérienne a déjà séduit plus de 700 000 fans avec ses histoires d’amour subversives. Refusant l’exercice de l’interview, elle bénéficie néanmoins d’un plan marketing hors normes pour le lancement de sa nouvelle œuvre, « Lakestone ».
Pour la 9e édition de Grand ReporTERRE, la metteuse en scène Angélique Clairand et la journaliste Coumba Kane décortiquent les relations tumultueuses entre la France et ses anciennes colonies africaines.
Dans un film intime et inclassable, « La Mère de tous les mensonges », la réalisatrice évoque les « émeutes du pain » de Casablanca, en 1981. Rencontre.
À l’affiche de « Que sur toi se lamente le Tigre » – l’histoire d’une femme victime d’un crime d’honneur –, la comédienne revient sur sa carrière et sur ses choix.
Le film du Ghanéen Blitz Bazawule, inspiré du livre d’Alice Walker, était très attendu. Mais, si les acteurs sont remarquables, le choix d’en faire une comédie musicale nous a laissés dubitatifs.
Dans un ouvrage collectif, l’universitaire, écrivaine et militante s’interroge sur l’histoire du féminisme, ses ramifications et ses combats, toujours terriblement d’actualité.
En s’attaquant à la question de la domination blanche, la nouvelle de Jesse Miller « Le Soulèvement des pigeons » (« Pigeon City »), écrite dans les années 1970 et traduite pour la première fois en français, demeure dramatiquement d’actualité.
Sur Internet, des groupes d’extrême droite s’attaquent, en raids organisés, à des films qui ne reflètent pas leur idéologie. Que faire face à cette « liberté d’expression » ?
Avec ce long-métrage, l’acteur remarqué chez François Ozon et Abdellatif Kechiche passe pour la seconde fois derrière la caméra et raconte avec brio le traumatisme que représente la mort d’une mère.