La nouvelle exposition permanente du musée marseillais offre des clés pour comprendre les représentations du passé et les enjeux régionaux du pourtour méditerranéen.
Avec « La Table du Nord », un livre de recettes issues des sept gouvernorats du septentrion du pays, la cheffe dévoile quelques secrets du patrimoine culinaire tunisien.
Après avoir raconté les artistes contemporains, le réalisateur d’origine marocaine Dan Assayag revient sur les parcours édifiants de grands athlètes africains.
Phénomène du Salon international de l’édition et du livre de Rabat, l’auteur saoudien de fantasy et de science-fiction amène de nombreux jeunes à la lecture.
Diffusé en Afrique grâce au réseau Canal Olympia, « La Lumière des femmes » montre comment de simples villageoises, formées à Dakar, deviennent le moteur du changement, et comment le progrès passe par l’électricité.
Phénomène littéraire stupéfiant, la jeune romancière algérienne a déjà séduit plus de 700 000 fans avec ses histoires d’amour subversives. Refusant l’exercice de l’interview, elle bénéficie néanmoins d’un plan marketing hors normes pour le lancement de sa nouvelle œuvre, « Lakestone ».
Pour la 9e édition de Grand ReporTERRE, la metteuse en scène Angélique Clairand et la journaliste Coumba Kane décortiquent les relations tumultueuses entre la France et ses anciennes colonies africaines.
Dans un film intime et inclassable, « La Mère de tous les mensonges », la réalisatrice évoque les « émeutes du pain » de Casablanca, en 1981. Rencontre.
À l’affiche de « Que sur toi se lamente le Tigre » – l’histoire d’une femme victime d’un crime d’honneur –, la comédienne revient sur sa carrière et sur ses choix.
Le film du Ghanéen Blitz Bazawule, inspiré du livre d’Alice Walker, était très attendu. Mais, si les acteurs sont remarquables, le choix d’en faire une comédie musicale nous a laissés dubitatifs.
Dans un ouvrage collectif, l’universitaire, écrivaine et militante s’interroge sur l’histoire du féminisme, ses ramifications et ses combats, toujours terriblement d’actualité.
En s’attaquant à la question de la domination blanche, la nouvelle de Jesse Miller « Le Soulèvement des pigeons » (« Pigeon City »), écrite dans les années 1970 et traduite pour la première fois en français, demeure dramatiquement d’actualité.
Sur Internet, des groupes d’extrême droite s’attaquent, en raids organisés, à des films qui ne reflètent pas leur idéologie. Que faire face à cette « liberté d’expression » ?
Avec ce long-métrage, l’acteur remarqué chez François Ozon et Abdellatif Kechiche passe pour la seconde fois derrière la caméra et raconte avec brio le traumatisme que représente la mort d’une mère.
Dans son essai « Oublier Camus », l’auteur, professeur à l’université de Caroline du Nord, revient sur la représentation positive et souvent trompeuse que l’on fait, en France, des positions politiques du Nobel de littérature 1957.
Avec « Nous, étudiants ! » le jeune réalisateur dépeint les galères d’une bande d’amis, étudiants à l’université de Bangui, et écorne sérieusement l’image de l’institution, pièce maîtresse de l’éducation du pays. Un point de vue que les représentants du gouvernement n’ont visiblement pas apprécié.
Pour réaliser « Avant que les flammes ne s’éteignent », l’ancien journaliste Mehdi Fikri s’est inspiré des tragiques histoires d’Adama Traoré, Lamine Dieng, Ali Ziri, Amine Bentounsi…
Auteur et essayiste, l’ancien ministre s’est fait le porte-plume d’un migrant guinéen, Mamadou Sow, qui a parcouru 10 000 kilomètres pour rejoindre la France.
La réalisatrice d’origine tunisienne propose, avec « (A)nnées en parenthèses 2020 2022 », un film expérimental sur les années de confinement et la manière dont les régimes politiques en ont tiré parti.
Avant même l’indépendance des États-Unis, des hommes et des femmes déportés d’Afrique cherchèrent à reconquérir leur liberté… et le payèrent de leur vie.
Le nouvel essai de Dorothée-Myriam Kellou, « Nancy-Kabylie », revient sur les déplacements de population organisés par l’armée française dans les années 1950, au mépris des conditions de vie de la population.
Auteur d’essais et de discours, le Palois d’origine algérienne passe à la fiction en ressuscitant le chanteur Rachid Taha, pour une exploration approfondie de la société française dans toute sa diversité.
Dans « Guerre, paix et bidoune », l’autrice, comédienne et chanteuse explore ses origines au cours d’un seule-en-scène enthousiasmant, présenté chaque semaine à la Comédie des 3 Bornes, à Paris.