Ce membre du Pastef est le seul des candidats potentiels du parti à être emprisonné. C’est pourtant lui qui a été choisi pour représenter la formation à la présidentielle de février 2024.
La Commission électorale nationale a proclamé sa victoire lundi 20 novembre. George Weah, le président sortant, avait déjà reconnu sa défaite trois jours plus tôt.
La Cour a déclaré recevable le recours de l’État contre la réinscription de l’opposant sur les listes électorales. L’affaire est néanmoins renvoyée devant le tribunal d’instance de Dakar.
Un commando a fait irruption dans la grande prison de Conakry, samedi 4 novembre, pour en exfiltrer l’ancien président et trois de ses codétenus. En quelques heures, trois fugitifs ont été rattrapés. Récit de ces heures durant lesquelles la Guinée a retenu son souffle.
Les avocats du président nigérien déchu ont porté plainte devant la Cour régionale pour « arrestation et séquestration arbitraires ». Le délibéré est attendu le 30 novembre.
Ils représentent moins de 5 % de l’électorat du pays, mais n’en sont pas moins activement courtisés par les candidats à l’élection présidentielle. Qui parviendra à convaincre les Sénégalais de l’extérieur d’ici à février 2024 ?
Le vote pour la présidentielle de 2024 sera finalement autorisé dans la ville sainte. Mais le khalife général a prié les hommes politiques de ne plus le déranger. Une manière de préserver l’équilibre au sein de la communauté mouride.
Le 23 octobre, Dakar a acquis 41 objets ayant appartenu à l’ancien président sénégalais, pour 244 000 euros. Le lot, vendu en France aux enchères, devrait intégrer rapidement le patrimoine national.
Le 12 septembre, le député français Olivier Serva (Liot) a déposé une proposition de loi contre la « discrimination capillaire » qui touche en priorité les personnes racisées.
Son mandataire a une nouvelle fois été éconduit par la Direction générale des élections, ce vendredi matin. L’opposant sénégalais a pourtant été réintégré sur les listes électorales.
À la tête d’une coalition qui se réorganise, le Premier ministre, candidat de la majorité, se lance dans la campagne. Parviendra-t-il à resserrer les rangs autour de lui ?
États-majors politiques, candidats, représentations diplomatiques, milieux d’affaires… En période électorale, ils sont de plus en plus nombreux à commander des enquêtes d’opinion. Même si la publication des résultats reste interdite.
Le nouveau gouvernement du Premier ministre Amadou Ba n’a pas fait l’objet de bouleversements politiques, mais il assure un fragile équilibre entre les diverses sensibilités de la coalition au pouvoir. Coulisses.
L’opposant jouera l’une de ses dernières cartes le 12 octobre à Ziguinchor, où sa radiation des listes électorales sera étudiée par le tribunal administratif. Mais il assure n’avoir pas dit son dernier mot.
Au Liberia, le président sortant affronte ce mardi dix-neuf concurrents à la présidentielle. Parmi eux, l’ancien vice-président d’Ellen Johnson-Sirleaf est le plus susceptible de le contraindre à un second tour.
Les avocats de l’opposant contestaient la décision de la Direction générale des élections de ne pas remettre à leur client sa fiche de collecte des parrainages en vue de la présidentielle.
Toujours hospitalisé, l’opposant sénégalais a lancé une contre-offensive judiciaire pour contester sa radiation des listes électorales. Son transfert en prison dépendra de son état de santé.
Une dizaine de personnes ont été placées en garde à vue, mercredi 20 septembre, après avoir perturbé un concert de la star du mbalax à Paris. Elles réclamaient la libération du leader du Pastef, emprisonné au Sénégal.
Ce proche de Macky Sall a fini par accepter le choix présidentiel pour le candidat de la majorité. Il avait pourtant déclaré qu’il ne soutiendrait jamais la candidature du Premier ministre.
Déçu de ne pas avoir été choisi, le ministre sénégalais de l’Agriculture, Aly Ngouille Ndiaye, a démissionné du gouvernement le 9 septembre. Une première fissure dans la coalition présidentielle ?
Privé de liberté, sans parti, radié des listes électorales et hospitalisé à la suite d’une grève de la faim qu’il refuse de suspendre, l’opposant est dans l’impasse.
Hospitalisé le 6 août dernier, l’opposant a été admis en réanimation dans la nuit de ce mercredi, selon ses proches. Il observe une grève de la faim depuis 19 jours.
La communauté régionale a annoncé, le jeudi 10 août, retenir l’option militaire pour garantir le retour à l’ordre constitutionnel à Niamey. Une telle opération serait-elle légale ? Décryptage.
Au Sénégal, la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi a annoncé le 9 août la « fin de son compagnonnage » avec le mouvement de Khalifa Sall, accusé de « trahison ». Un divorce qui semblait, depuis plusieurs semaines, inéluctable.
Au Sénégal, les consultations se poursuivent pour désigner celui qui mènera la coalition BBY à la présidentielle de 2024, tandis que la majorité se déchire entre les différents candidats, tous en quête de soutiens.
L’ancien président guinéen est toujours incarcéré à la prison centrale de Conakry, alors que se poursuit le procès des événements du 28 septembre 2009. Ses avocats continuent de réclamer son placement en résidence surveillée.
Hospitalisé dans la soirée du 6 août, l’opposant sénégalais refuse toujours de s’alimenter. Plusieurs de ses proches tentent de le faire changer d’avis.