À la tête du deuxième opérateur mobile marocain depuis 2013, l’ex-directeur général de Neuf Cegetel compte déjà ses premiers succès. Et ne cache pas une ambition « démesurée » pour les années à venir.
Dans un marché local toujours en berne, la filiale d’Italcementi se bat pour rester numéro deux. Et permettre au groupe italien de poser ses premiers jalons au sud du Sahara.
La filiale du leader français de l’assurance-crédit vient d’obtenir un agrément lui permettant de traiter directement avec les entreprises… Et de renforcer ainsi sa présence sur le continent.
Un projet de loi veut ouvrir le capital des établissements privés au-delà du monde médical. Le but : développer une meilleure offre de soins. Mais d’aucuns craignent un abandon des actes les moins rentables.
C’est une première dans le royaume. Les chômeurs vont être indemnisés à partir du mois de décembre grâce à la nouvelle indemnité pour perte d’emploi (IPE).
Le leader de la promotion immobilière au Maroc axe sa politique de recrutement sur l’excellence des profils, portant une attention particulière aux étudiants subsahariens.
Pour Oxford Business Group, qui a célébré ce 5 novembre à Casablanca ses dix ans de présence au Maroc, le royaume chérifien a connu une transformation économique et sociale remarquable durant la dernière decennie.
Alors qu’au Maroc le marché de la bière ne cesse de reculer depuis cinq ans, le groupe Brasseries du Maroc a enregistré une chute de 43 % de son bénéfice au 1er semestre 2014. Un contexte difficile attend François Bosco, le tout nouveau directeur de la filiale du groupe Castel.
Casablanca a fait un bond de 11 places et se hisse désormais à la 51e place du GFCI, le classement des places financières internationales, devant Port-Louis (Maurice), Moscou, Dublin et Madrid.
Les résultats de l’étude menée pour le fabricant américain de microprocesseurs Intel sur le comportement digital des Marocains révèle que plus de 80% d’entre eux possèdent un appareil informatique.
Basé à Casablanca Finance City et conçu par la Banque africaine de développement (BAD), le fonds Africa 50 a été officiellement lancé ce mercredi 3 septembre. Il vise à financer les projets d’infrastructures en Afrique et veut s’ouvrir le plus largement aux investisseurs privés.
Réuni le 24 juillet, le conseil de la ville de Casablanca a voté pour l’abandon du projet de ligne de métro aérien, lui préférant l’extension du réseau de tramway lancé en 2012. Des travaux qui devraient nécessiter 16 milliards de dirhams d’investissements (1,5 milliard d’euros).
Ramses Arroub vient de démissionner du poste de PDG de Wafa Assurance qu’il occupait depuis 2007. Selon les informations reçues par « Jeune Afrique », ce départ est dicté par des motifs personnels. Son remplaçant est Driss Bencheikh, ancien PDG de Centrale Laitière.
Après avoir participé au lancement de l’usine du constructeur français au Maroc, Paul Carvalho, l’ancien opérateur du site, en a pris les rênes en novembre dernier. Sous sa direction, la production va monter en puissance pour atteindre 200 000 véhicules en 2014.
En lançant une offre publique de vente sur les actions de Lesieur Cristal, la Société nationale d’investissement achève son désengagement du numéro un marocain des huiles de table et du savon. L’opération doit rapporter 580 millions de dirhams au holding royal.
L’Afrique manque cruellement de manageurs de niveau intermédiaire. Bourses, stages, mobilité régionale… Les entreprises mettent le turbo pour former ces salariés tant désirés.
Raghu Malhotra, patron de MasterCard pour la région MENA, considère que les pays africains réalisent d’importants progrès dans leur marche vers « une société sans cash ». « Jeune Afrique » l’a rencontré durant le forum « Cartes Afrique », organisé à Marrakech les 25 et 26 avril.
Autrefois sacré capitale mondiale de la sardine, le port marocain de Safi fait face à une diminution des prises. Comment sauvegarder son industrie de transformation ? Les entrepreneurs étudient toutes les pistes.
Un mois après la notation du Maroc par Moody’s, c’est au tour d’OCP, entreprise détenue à 95 % par l’État, d’être notée par les agences Standard & Poor’s et Fitch Ratings.
En 2013, le groupe Banque populaire a enregistré une progression de 14,6% de son produit net bancaire à 13,2 milliards de dirhams. Il confirme sa position de n° 2 au Maroc.
Les citoyens marocains détenant illégalement des avoirs à l’étranger sont priés de les rapatrier. Leur amnistie doit permettre de renflouer les réserves de change du Maroc.
À la tête de multinationales ou de PME, ces 25 pionniers sont des précurseurs de l’industrialisation des filières agricoles africaines. Leur credo : transformer sur place les aliments produits localement.
L’édition 2013 du programme « Meilleurs employeurs du Maroc » a récompensé Menara Holding et Microsoft Maroc, respectivement dans les catégories « grandes entreprises » et « PME ».