Alors que le français Sodexo se taille la part du lion sur le marché encore réduit des titres-restaurant, un autre français, UP (ex-groupe Chèque déjeuner), fait son entrée en Tunisie avec le rachat de la société Top Checks. Le nouveau venu compte sur un changement des habitudes de paiement et sur un coup de pouce parlementaire pour améliorer ses ventes.
Avec sa société Wattnow, le Tunisien Issam Smaali propose une solution IoT (Internet des objets) qui permet de surveiller, d’analyser et d’ajuster en temps réel la consommation des appareils électriques. Créée en janvier 2017, la start-up veut conquérir le marché des particuliers comme celui des entreprises, à l’échelle du continent.
Une galerie d’art, un accélérateur de start-up, l’ambassade d’une prestigieuse université américaine… Meninx Holding, la société de gestion de portefeuille fondée par la famille Tamarziste, vient d’ouvrir à Tunis un bâtiment abritant tout un écosystème dédié aux jeunes porteurs de projets.
La start-up tunisienne iFarming propose Phyt’Eau, qui permet aux exploitants agricoles de gérer leur irrigation en quasi temps réel. À partir de classiques travaux de fin d’étude, l’étudiante Rabeb Fersi et son maître de mémoire Samir Chebil sont en passe de faire de leur société une licorne, ce nom que l’on donne à une start-up valorisée à un milliard de dollars.
Membre du comité de direction de la Banque centrale de Libye, Abdurrahman Habil propose d’avoir recours aux obligations islamiques « sukuk » pour réintroduire de la liquidité dans le système bancaire libyen.
L’utilisation d’outils connectés, l’irrigation souterraine en goutte-à-goutte et le renouvellement des plantations d’oliviers pourrait permettre de doubler la production d’huile d’olive tunisienne et d’assurer une meilleure régularité des récoltes, alors que le pays est déjà le deuxième exportateur au niveau mondial, derrière l’Espagne.
Le premier magasin de la célèbre enseigne française de vêtements et d’équipements sportifs ouvrira jeudi dans la capitale tunisienne. D’autres points de vente devraient suivre courant 2018, alors que le groupe prévoit son implantation au Sénégal et en Égypte.
Si l’économie tunisienne reste largement basée sur les entreprises familiales, l’arrivée de la troisième génération – celle des petits-enfants – nécessite une gouvernance plus rationnelle pour assurer la pérennité de ces structures. Lors de son dernier Forum de la gouvernance, l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) a donné quelques clés pour facilité cette transition.
La Banque centrale de Tunisie (BCT) a dressé une nouvelle liste des produits d’importation jugés « non essentiels » publiée lundi. La liste initiale de 604 produits a été largement réduite, pour atteindre 222 produits. Les véhicules et les préservatifs, dont le caractère « non essentiels » avait fait l’objet de vifs débats, sont redevenus « essentiels ».
Les concessionnaires automobiles tunisiens se considèrent doublement lésés par les hausses des taxes sur les importations prévues dans le projet de loi de finances 2018 et par la circulaire de la Banque centrale sur les produits de consommation non essentiels. Ils préviennent qu’en l’état, le prix des voitures essence neuves de moyenne gamme devrait augmenter de 13 à 30%.
Le syndicat patronal majoritaire, Utica, a menacé de se retirer du pacte politique de Carthage, qui sert de feuille de route au gouvernement depuis l’été 2016, si le projet de loi de finances 2018 était adopté en l’état.
La Banque centrale de Tunisie a émis une proposition visant à réduire le coût des importations, dont le montant dépasserait les 10 millions de dinars. Elle a donc établi une liste de produits jugés superflus et dispensables, dont les préservatifs.
Mehdi Bouaouaja, l’un des avocats tunisiens de Baghdadi Mahmoudi, l’ex-secrétaire général du Congrès général du peuple (CGP) libyen (fonction équivalente à celle de Premier ministre), a répondu aux questions de Jeune Afrique.
Six ans après la disparition du « Guide », ses principaux et derniers acolytes ont changé de geôliers et bénéficient désormais d’un traitement de faveur. Enquête.
Après plusieurs mois d’affrontements entre groupes armés, le calme semble être revenu dans la capitale. Mais l’insouciance et la relative prospérité d’antan ne sont plus qu’un vieux souvenir.
Freiné par sa bureaucratie et une corruption endémique, le pays ne décolle pas dans le classement de compétitivité de Davos. Ces piètres performances ne sont pas sans inquiéter les observateurs économiques, qui regrettent le manque de réactivité des pouvoirs publics.
Longtemps discrète et mesurée, la famille royale de Libye n’en souhaite pas moins prendre sa part dans la reconstruction nationale. Mais ses principaux membres sont aussi divisés que le pays.
La Banque centrale de Tunisie (BCT) assouplit les règles concernant l’utilisation de devises étrangères. Les établissements bancaires ont jusqu’au 31 décembre pour transformer les différents comptes en devises et en dinars convertibles en un unique Compte de personne physique résidente (PPR).
Analyser en temps réel les méga-données pour mieux protéger les systèmes informatiques. Le Graal 2.0, recherché par toutes les sociétés opérant dans le web, existe grâce au savoir-faire de la start-up tunisienne Barac.
Alors que le pays reste englué dans une crise politique inextricable, le secteur pétrolier connaît une nette embellie. Mais la gestion des revenus qu’il génère obéit à des règles complexes. Explication.
Selon les autorités de Zintan, qui le détenaient depuis le 19 novembre 2011, Seïf el-Islam, le fils de Kadhafi a été libéré le 10 juin. Mais nul ne sait où il se trouve.
Selon nos informations, des dirigeants de PayPal et du ministère des Technologies de la communication et de l’Économie numérique (TCEN) se sont rencontrés en début de semaine pour discuter des derniers obstacles qui empêchent la plateforme de paiement en ligne d’être disponible en Tunisie.
La société tunisienne d’Ilyes Gouja propose des produits alimentaires et cosmétiques fabriqués à partir de microalgues reconnus pour leurs bienfaits. Dans ce secteur prisé, Vitalight Lab apporte un savoir-faire technologique innovant.
La start-up franco-tunisienne NextProtein, qui produit des composants alimentaires pour animaux à base d’insectes, a annoncé avoir levé 1,3 million d’euros et entend notamment capter une part de la colossale demande mondiale en alimentation pour animaux (soja ou farine de poisson).
La Tunisie attire deux des plus grandes universités américaines, Harvard et Columbia. La position géographique, la stabilité et la liberté – eu égard à la situation régionale – ainsi que la tradition intellectuelle du pays sont mis en avant par les deux prestigieux établissements pour expliquer leur présence.
La Banque centrale tunisienne (BCT) a validé, à l’occasion de sa réunion du mercredi 30 novembre, l’introduction de la devise chinoise, le yuan, dans son panier de réserves en devises.
Lors de la conférence de presse de clôture mercredi 30 novembre, Youssef Chahed, chef du gouvernement, a estimé que la Tunisie était de retour en force sur la scène économique mondiale.
L’offre publique d’achat, dont les résultats publiés mi-novembre sont passés inaperçus, a rencontré un succès mitigé auprès des petits porteurs. Pour certains experts de Place de Tunis, ce demi-échec peut être perçu comme un signe d’optimisme. Explications.
Redressements fiscaux, blocage en douanes, manque d’informations… pour tenter de réduire les difficultés quotidiennes auxquelles sont exposées les entreprises tunisiennes, notamment dans ces liens avec l’administration, une plateforme de service, mise sur pied par plusieurs organisations patronales et par la Présidence tunisienne, ouvrira le 1er novembre.