L’ancien parti unique a prévu de se réunir les 11 et 12 février pour décider notamment de l’avenir de l’alliance nouée avec la majorité. En interne, des voix plaident pour une candidature socialiste à la présidentielle de 2024.
À un an de la présidentielle, à laquelle il compte être candidat, l’ancien maire de Dakar, en tournée en Europe et aux États-Unis, tente de mobiliser les Sénégalais de l’étranger.
Le chef de file de l’opposition sénégalaise, candidat à la présidentielle de 2024, comparaît le 2 février devant le tribunal correctionnel de Dakar après une plainte d’un ministre de Macky Sall. Une affaire dont l’enjeu est hautement politique.
Ces dernières semaines, le leader de l’opposition sénégalaise a paru vouloir lisser son image, se disant désormais favorable à « un partenariat gagnant-gagnant » avec la France.
Le secrétariat exécutif du Parti socialiste sénégalais se réunit, ce 19 janvier, alors qu’un responsable politique de cette formation, alliée de la coalition présidentielle, s’est prononcé contre l’éventualité d’une nouvelle candidature du chef de l’État en 2024.
À près d’un an de la présidentielle de 2024, l’ancien maire de Dakar part à la rencontre des Sénégalais. Encore faudrait-il que sa candidature, officialisée il y a des mois, soit validée.
Si les relations entre Paris et Dakar restent au beau fixe, le Sénégal n’est plus une terre promise pour les intérêts français, exposés à la rude concurrence de puissances économiques émergentes. S’y ajoute la progression, dans toute la région, d’un vif sentiment anti-français.
C’est l’homme le plus recherché d’Afrique. Le fondateur de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), un groupe rebelle qui a semé la terreur pendant plus de trente ans en Ouganda, est traqué depuis 2005 par la justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Que Macky Sall brigue un troisième mandat en 2024, c’est le rêve du député-maire de la communauté rurale des Agnams, située dans la région de Matam, qui voue loyauté et fidélité au chef de l’État.
Le Premier ministre sénégalais se présentait ce lundi 12 décembre pour la première fois depuis sa nomination face aux députés dans un hémicycle fortement divisé, où la coalition présidentielle a perdu sa majorité absolue.
L’ancien ministre de l’Économie s’est entouré de discrets fidèles. Éminence grise, politiques, jeunes collaborateurs… Voici ceux qui accompagnent le Premier ministre.
La scène, surréaliste, s’est déroulée jeudi 1er décembre en pleine session parlementaire, sous le regard consterné du président de l’Assemblée nationale. Qui a immédiatement saisi le procureur de la République.
Le chef de l’État sénégalais a rencontré le 28 novembre l’ensemble des acteurs des « daaras » (écoles coraniques) avec plusieurs promesses à la clé. Une stratégie de séduction à l’approche de la présidentielle de 2024.
Alors que la moitié des rues de la capitale ne sont pas nommées, les Dakarois peuvent désormais créer eux-mêmes leur propre adresse postale grâce à une nouvelle solution numérique.
Selon les informations de Jeune Afrique, le chef du gouvernement sénégalais se rendra dans la capitale française dans le cadre d’un séminaire intergouvernemental qui doit se tenir les 8 et 9 décembre.
Depuis le 18 novembre, le sergent Fulbert Sambou et l’adjudant-chef Didier Badji n’ont plus donné signe de vie. Ce mercredi, le corps du premier a été retrouvé au large du cap Manuel, relançant les interrogations.
Alors que Macky Sall a rétabli la fonction de Premier ministre il y a dix mois, la polémique enfle : son chef de gouvernement n’aurait pas les moyens de travailler. Rumeurs ou réalité ?
Maintenant que la page des législatives est tournée, le parti présidentiel se prépare pour le scrutin de février 2024. Mais la question du troisième mandat fait débat jusque dans ses rangs.
Devenu opposant à Macky Sall, qui entretient le doute sur ses intentions, l’ancien numéro deux de l’Alliance des forces de progrès a été investi, le 13 novembre, candidat à la présidentielle de 2024.
Alors que le chef de l’État sénégalais n’a rien dit de ses intentions pour la présidentielle de 2024, plusieurs organisations citoyennes se mobilisent déjà pour le dissuader de briguer un troisième mandat.
Détenteur du record de longévité au sein du gouvernement, le ministre de l’Eau et de l’Assainissement se rêve en héritier d’Ousmane Tanor Dieng alors que le Parti socialiste traverse une crise profonde à l’approche de la présidentielle de 2024.
Le chef de file de l’opposition a procédé, le 15 octobre, à une restructuration de son parti en promouvant plusieurs de ses cadres avant d’entamer le lendemain une tournée nationale qui doit le conduire dans toutes les régions du pays.
Les partis membres de l’IS en Afrique se retrouvent les 28 et 29 octobre dans la capitale sénégalaise pour préparer le renouvellement de son équipe dirigeante.
Le film de la réalisatrice afro-américaine Gina Prince-Bythewood, qui rend hommage aux célèbres amazones du Bénin, a reçu un accueil mitigé à Cotonou, en raison des libertés prises avec les faits historiques.
Alors que l’opposition a fait une percée historique en remportant près de la moitié des sièges aux législatives du 31 juillet, la coalition YAW doit désormais faire face à ses divisions internes à moins de deux ans de la présidentielle.
Tête de liste des suppléants, ce cadre de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie a été élu à l’Assemblée nationale, après l’invalidation de certains candidats.
Le chef de l’État, qui avait annoncé le rétablissement de la fonction il y a dix mois, a porté son choix sur son ancien ministre des Finances et des Affaires étrangères. Cette nomination intervient après la percée historique de l’opposition lors des législatives du 31 juillet.
En choisissant un proche de sa famille pour présider l’Assemblée nationale, le chef de l’État a surpris tout le monde. Y compris dans ses rangs. Décidé à faire respecter ses consignes, Macky Sall n’a pas hésité à mettre ses députés sous surveillance jusqu’au vote final.
Finances, Intérieur, Affaires étrangères… Sous l’impulsion de la successeure de Boris Johnson, des ministres de premier plan sont originaires du continent. Du jamais-vu.