La Banque mondiale s’est penchée sur les dettes publiques africaines et sur leurs créanciers, et détaille les échéances à venir. Le décryptage de Jeune Afrique.
Même si le coronavirus complique les réformes, l’institution a augmenté de près de 800 millions de dollars le montant de l’enveloppe destinée à Luanda.
La principale compagnie du continent négocie avec Pretoria en vue d’une éventuelle prise de participation dans le pavillon national sud-africain. La dernière chance de lui éviter la faillite ?
Après une décennie de gestion ouest-africaine, la région compte sur la prochaine élection du directeur général pour reprendre la main sur l’agence. Mais n’a pu se mettre d’accord sur une candidature unique.
La révélation par la Banque mondiale de la présence d’irrégularités dans deux des plus récents rapports Doing Business entache la réputation d’un classement qui a dicté bon nombre de réformes en Afrique.
Un an après son arrivée à la Bourse du Caire, la fintech a atteint le 17 août la valorisation symbolique d’un milliard de dollars. Et ne compte pas s’arrêter là.
L’opérateur sud-africain a officialisé la nomination de son actuel directeur financier au poste de directeur général, où il prend la suite de Rob Shuter.
L’institution, qui avait annoncé en avril une « récession historique de 1,6 % » en Afrique subsaharienne, table maintenant sur une contraction de 3,2 %.
Alors que Fitch Ratings publie une mise en garde contre de « probables » défauts de paiement en Afrique subsaharienne, zoom sur les profils d’endettement les plus à risque.
Le gouvernement béninois interprète le maintien de sa notation souveraine par S&P comme l’aval de sa décision de ne pas recourir au moratoire sur la dette proposé par le G20.
La dégradation de leurs notes souveraines par l’agence Moody’s n’interviendra qu’en cas de renégociation des créances privées. Cette possibilité est-elle à craindre ? Décryptage.
La suspension, jusqu’à la fin de l’année, du service de la dette bilatérale va permettre aux deux pays de dégager des marges de manœuvre budgétaire pour faire face à la crise.
À ce jour, le Club de Paris a validé des moratoires sur les dettes de 8 États africains. Mais la question des possibles annulations, elle, est loin d’être réglée.
Une « revue indépendante » passera au crible le rapport interne qui avait blanchi le président de la BAD, Akinwumi Adesina, des accusations portées à son encontre par un groupe de lanceurs d’alertes.
Condamné l’an dernier par un tribunal arbitral de Londres à verser 1,25 milliard de dollars au brésilien Vale, BSGR en appelle désormais à la justice américaine.
À peine désendettée par son désengagement de Lafarge South Africa Holdings, la filiale de LafargeHolcim subit de plein fouet le gel des grands projets d’infrastructures.
Le conseil d’administration du FMI a approuvé le décaissement de 886,2 millions de dollars pour aider la Côte d’Ivoire à faire face aux besoins urgents de financement engendrés par la pandémie de Covid-19.
Sans la stopper, la banque sud-africaine a décidé de limiter sa participation à l’industrie du charbon. Absa Bank annonce qu’elle ne financera plus de nouveaux projets que « dans des circonstances exceptionnelles » et « selon des directives strictes ».
La société-soeur du conglomérat Rawbank et son concurrent sénégalais Sunu ont chacun leurs atouts pour ravir des parts de marché à la Sonas, l’opérateur public historique.
Spécialiste des marchés financiers du continent, Romuald Yonga a beau avoir constaté « la pire chute des marchés » de sa carrière, il conseille aux détenteurs d’actions sur les places africaines de conserver leur portefeuille.
Envisagée dès 2015, année de la promulgation de la libéralisation du secteur des assurances en RDC, l’entrée du groupe fondé par Pathé Dione sur le marché congolais est enfin actée.
Si elle n’envisage pas d’exclure le financement des activités liées au charbon, la banque sud-africaine s’engage à mieux prendre en considération les objectifs de l’Accord de Paris dans ses opérations.
Cinquante milliards de dollars, dont 10 pouvant être prêtés à taux 0, ont été rendus disponibles par le FMI dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, tandis que la Banque mondiale mobilise 12 milliards de dollars.