Fort du rachat du pionnier kényan iHub, le fondateur de l’incubateur nigérian, figure de la tech africaine, va finaliser en 2020 une importante levée de fonds.
Le fonds d’investissement panafricain a investi début novembre quatre millions de dollars dans la start-up française de Véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC) pour soutenir sa stratégie de développement en Afrique francophone, initiée en 2017 à travers son implantation au Maroc.
Boomplay, Spotify, Deezer, mais aussi Simfy, Waw Muzik et Mdundo… Les plateformes musicales internationales et locales prennent enfin leur envol avec l’appui des opérateurs, qui espèrent ainsi augmenter leur trafic.
Après avoir relancé Orange Money au Sénégal, la polytechnicienne pilote la transformation numérique des filiales de l’opérateur français sur le continent.
Le californien Zipline International Inc, pionnier dans l’utilisation des drones pour livrer en urgence des fournitures médicales dans des zones reculées, notamment au Rwanda, a levé 190 millions de dollars (170 millions d’euros) en avril.
À travers ses différentes plateformes (Facebook, Messenger, Instagram et WhatsApp), le géant américain des réseaux sociaux couvre 48 pays d’Afrique subsaharienne. Sa responsable Afrique, Nunu Ntshingila, explique ses grands axes stratégiques.
Plus de 75 000 chambres, soit plus 400 hôtels, sont actuellement en cours de développement sur le continent, selon l’étude annuelle du cabinet nigérian W Hospitality Group. Tour d’horizon des pays et des villes les plus attractifs.
Après des lancements réussis au Maroc, au Kenya et en Côte d’Ivoire, la start-up espagnole spécialisée dans la livraison, créée en 2015, veut s’ouvrir au Ghana et au Nigeria d’ici la fin de l’année.
Mise sur pied en 2018, à l’initiative d’Accor, la plateforme d’investissement dédiée au développement hôtelier en Afrique subsaharienne Kasada Capital Investment a bouclé le premier closing de Katara Hospitality Fund LP. Entretien avec son PDG, Olivier Granet.
Actionnaire de référence de Radisson depuis février, déjà propriétaire de Louvre Hotels, le groupe de Shanghai est désormais numéro trois du secteur derrière Accor et Marriott.
MyAfricanStartUp, plateforme de mise en relation entre start-up, investisseurs et médias, a publié mercredi 17 avril son palmarès 2019 des « 100 start-up africaines dans lesquelles investir ». Rencontre avec son fondateur, Christian Kamayou.
Qu’ils soient 10 ou 1 000 les anciens élèves sont désormais un levier de développement important pour les écoles et un critère à ne pas négliger côté candidats pour le choix d’une école.
Au Maghreb comme en Afrique subsaharienne, les écoles de commerce investissent de plus en plus dans les cours en ligne. Reste à faire tomber certaines barrières du côté des enseignants et des étudiants.
Selon le Plan national du sport adopté en 2017, aucun Ivoirien ne doit se trouver à plus de 3 km d’une infrastructure sportive. Une ambition qui a entraîné un vaste programme de construction de stades, dont le centre-pilote doit être inauguré début juin.
Portées par la demande, les grandes chaînes internationales cherchent à développer leur réseau. Mais les difficultés liées aux montages financiers retardent leurs projets.
La plateforme de réservation en ligne Airbnb se pose comme une solution pour compenser la limitation des capacités d’accueil. Hadi Moussa, son directeur régional Afrique et Moyen-Orient, décrypte pour JA sa stratégie sur le continent.
Forte d’un accord stratégique conclu avec Orange en décembre 2018, la jeune pousse française YouScribe pourra proposer un accès renouvelable à sa bibliothèque numérique aux clients des filiales africaines de l’opérateur, en commençant par le Sénégal, le Cameroun et la Côte d’Ivoire.
Après sa participation dans le fonds Partech, le français Edenred, leader mondial des solutions de paiement, s’est associé à Jumia pour profiter de l’essor de la digitalisation.
Alors que les infrastructures de communication attirent de nombreux investisseurs, l’émergence de plateformes digitales locales apparaît comme un levier de croissance.
Hormis le Maroc et l’Afrique du Sud, qui restent leur destination la plus prisée, le continent peine à attirer les visiteurs internationaux. Un investissement dans les infrastructures et le secteur aérien est primordial pour gagner en attractivité.
Autrefois réputée, la destination Côte d’Ivoire est sortie du radar des tour-opérateurs au gré des crises vécues par le pays depuis vingt ans. Pour y remédier, le pays a élaboré un plan, baptisé Sublime Côte d’Ivoire. L’objectif : attitrer 5 millions de visiteurs internationaux à l’horizon 2025.
Suppression du visa payant, rôle d’Air Côte d’Ivoire, sécurité, coopération avec le Maroc… Le héraut des ambitions nationales ivoiriennes en matière de tourisme présente sa stratégie à Jeune Afrique.
À travers le Plan Azur, lancé en 2001, le Maroc s’était fixé comme objectif d’accueillir 10 millions de visiteurs en 2010. Dans sa « Vision 2020 », il ambitionne d’atteindre le double. L’ouverture du ciel marocain, il y a dix ans, a eu un impact majeur sur la confiance des investisseurs.
L’offensive de Mangalis, filiale de Teyliom, doit se concrétiser dans les douze mois. En finançant sur fonds propres son expansion et en visant toutes les gammes, elle tente un pari audacieux.
La radio relance depuis Paris une offensive africaine avec l’obtention de deux fréquences, en Côte d’Ivoire et au Congo. Et projette d’installer une rédaction à Abidjan.
Trois ans après sa création, la start-up tunisienne, basée à Tunis, a levé plus de 2,2 millions de dinars (761 000 euros). Elle permet à ses clients d’ajuster leur offre à la concurrence sur le web.
Alors que 62 % des habitants d’Afrique subsaharienne ont encore un accès limité à l’électricité, les nouvelles générations de batteries pourraient jouer un rôle clé. Au point d’en faire un marché d’avenir ?
Après les opérateurs télécoms, pétroliers et distributeurs cherchent à leur tour à diversifier leurs revenus, à fidéliser leurs clients et à rentabiliser leurs points de vente en élargissant leur offre de services digitaux.
Avec un soutien de la Banque mondiale de 87,5 millions d’euros, le gouvernement tunisien a lancé une réforme de son système de gestion des forêts. Objectif : mieux valoriser les ressources forestières et accroître la valeur ajoutée du secteur.