Nina Kozlowski

Le Marocain Abdelkrim El Khattabi, précurseur de la lutte anticolonialiste dans le Rif et premier nationaliste maghrébin à avoir été contraint à l’exil par les autorités coloniales françaises. © DR

Abdelkrim El Khattabi, de l’île de La Réunion au Caire

Allal Al Fassi in 1949 © Creativ Commons

Allal El Fassi, banni et exilé au bout du monde

En haut de g. à dr. : Allal El Fassi – Abdelkrim El Khattabi En bas de G. à dr. : Hassan Ouazzani – Ahmed Balafrej Montage JA © DR -AFP

Les figures nationalistes marocaines et l’exil

Mohamed Hassan Ouazzani, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal. Photo non datée. © AFP

Hassan Ouazzani, une parenthèse dans le Sud marocain

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De g. à dr., Lamine Benomar, Hassan Sentissi Idrissi, Mounir Houari, Laila Ouachi et El Khattat Yanja. © MONTAGE JA : MOHAMED DRISSI KAMILI pour JA ; Fédération des Industries de Transformation et de Valorisation de la Pêche ; DR

Au Maroc, les figures incontournables de Dakhla

Le phare d’Arcipèse. © JS Callahan/tropicalpix / Alamy Stock Photo via ABACA

Au Maroc, Dakhla, de Saint-Exupéry au kitesurf

Aicha El Khattabi. © DR

Au Maroc, disparition de Aïcha El Khattabi, fille d’Abdelkrim

L’hôpital militaire de campagne installé par les Forces armées royales à Asni, le 12 septembre. Chaque tente correspond à un service spécialisé selon les besoins des personnes soignées. © Paulin Amato pour JA

Séisme au Maroc : à Asni, les FAR au chevet des survivants

La chanteuse marocaine Kaoutar Berrani. À g., deux albums du chanteur algérien Salim Halali. © montage JA ; DR

Algérie-Maroc, le bêtisier de la discorde

Au village de Tamdaght, dans le sud du Maroc. © Montage JA : Emile LUIDER/REA

Au Maroc, le mythe des enfants zouhris

Des femmes invoquant Lalla Aïcha (Aïcha Kandicha) au festival de Sidi Ali, près de Meknès, le 21 janvier 2014. © Montage JA : Fadel Senna/AFP

Voyage dans l’univers de la magie marocaine

Rituel de la confrérie soufie des Hmadcha, à l’ouverture du 10e Festival Gnawa d’Essaouira, le 19 juin 2007. © Montage JA : ABDELHAK SENNA/AFP

Aux origines de la divination marocaine

Son identité plurielle – amazighe, arabe, juive, africaine – fait du Maroc, dans l’inconscient collectif, une « terre de sortilèges » par excellence. Ici, représentation orientale de djinns à la cour du roi Salomon. © Montage JA; DR

[Série] Maroc, terre de magie et de sortilèges

El Hadj Ahmed Ben Ibrahim. © Montage JA; Saad pour JA

Au Maroc, les confessions du « Pablo Escobar » du Sahara