Suite à un appel de l’avocat du Palais, le député socialiste des Hautes-Pyrénées Jean Glavany s’est excusé pour ses déclarations au sujet de la mauvaise santé du roi du Maroc. Il a ensuite affirmé ne détenir aucune information sur l’état réel de sa santé.
En raison de la défaillance de l’enseignement public, des milliers de parents marocains jettent leur dévolu sur les écoles françaises, espagnoles, belges… Le marché est en pleine expansion, malgré des frais de scolarité qui atteignent parfois des sommets.
Si le nord du pays est habitué au manteau blanc chaque hiver, il en est autrement dans l’Ouest, aux portes du désert. Depuis décembre, de belles images de dunes enveloppées de neige circulent sur le web.
Elle a été qualifiée de vice dans un manuel d’éducation islamique. La philosophie déchaîne les passions dans le royaume. Enseignants, officiels, chercheurs universitaires… Tout le monde en parle. L’écrivain Driss Ksikes a son avis sur la question.
Pour devenir ministre, président du Parlement ou prétendre à un poste à responsabilités dans l’armée, les binationaux doivent abandonner leur autre nationalité, en vertu d’une loi promulguée le 11 janvier.
Les prisons marocaines sont archi-saturées, selon l’Observatoire marocain des prisons. En cause : les cas de détention préventive qui progressent d’année en année.
L’adoption de l’acte constitutif de l’Union africaine par le nouveau Parlement a relégué les consultations gouvernementales au second plan. Nouvelle tournée royale en Afrique, participation de l’USFP… de nouvelles contraintes se rajoutent à ce feuilleton interminable.
Le guide de la zaouiya Boutchichia s’est éteint ce mercredi à l’est du Maroc. Parcours d’une confrérie influente où se mêlent religion, pouvoir et argent.
Le général de division Abdelfatah Louarak remplace le général de corps d’armée Bouchaib Arroub, annoncé malade depuis mai 2016. Il devient ainsi le nouvel homme fort de l’armée marocaine dont le roi reste le chef suprême.
Seul candidat en lice, le numéro deux de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) a été sacré président de la première chambre à la majorité absolue ce lundi 16 janvier.
C’est un fait exceptionnel dans l’histoire du Maroc. La chambre des représentants doit élire son président ce lundi, alors même que le gouvernement n’est pas encore formé. Elle doit par la suite adopter le texte permettant au Maroc de réintégrer l’Union africaine avant le prochain sommet de l’organisation.
Les autorités marocaines ont décidé de fermer un groupe d’écoles affiliées à la confrérie de l’imam turc Fethullah Gülen en pleine année scolaire. Les parents, qui se demandent ce que deviendront les 2 500 élèves concernés par la mesure, multiplient les actions de protestation.
Dans son dernier livre, « La Conversation comme manière de vivre », le philosophe marocain Ali Benmakhlouf invite le lecteur à se plonger dans l’art de la conversation.
Cela fait trois mois et quatre jours que les Marocains attendent de connaître le nom de leurs ministres. Combien de temps encore ? Une chose est sûre : jamais le Maroc n’a connu un accouchement aussi difficile.
À quelques semaines de la tenue du sommet de l’Union africaine, le Maroc veut adopter tous les documents exigés pour son adhésion. Mais le Parlement est en panne…
Sur instruction royale, le vieux quartier de Marrakech a recouvré son nom juif d’origine dans le cadre de la réconciliation du pays avec son identité plurielle. Un chantier sensible mené avec prudence par le roi du Maroc depuis 2011 dont nous parle Jamaâ Baida, directeur des Archives du Maroc.
Sans surprise, l’ex-candidat à l’élection présidentielle a annoncé que son parti, Talaie El-Houriat, boycotterait un scrutin qu’il considère biaisé d’avance. Mais sa position l’isole des autres partis de l’opposition qui ont opté pour la participation.
Ce sont de loin les plus longues consultations gouvernementales sous Mohammed VI. Dernier rebondissement en date : le leader du PJD a mis un terme à ses pourparlers avec le RNI qui souhaitait inclure d’autres partis dans le prochain gouvernement.
Il n’y a malheureusement plus de mots pour qualifier le torrent de haine qui s’est déversé sur les réseaux sociaux après la mort de deux jeunes filles marocaines dans l’attentat terroriste qui a endeuillé la Turquie, durant la nuit du nouvel an 2017.
Abdelilah Benkirane s’est résigné à lâcher son allié nationaliste et à garder la même coalition sortante pour le futur gouvernement, avec comme parti star, le RNI de Aziz Akhannouch. Chabat échec et mat !
« Ne maquillez pas la violence. Dénoncez-là ! » est le message d’un nouveau tutoriel de maquillage diffusé par un site internet marocain depuis dimanche. Une façon de rebondir sur la bourde commise sur le sujet par la chaîne de télévision 2M fin novembre.
La direction historique du parti nationaliste resserre ses rangs pour pousser le controversé secrétaire général à la démission. Mais l’intéressé ne compte pas se laisser faire aussi facilement.
Cinq membres de la jeunesses du Parti justice et développement (islamiste, au pouvoir) comparaissent ce mardi devant le juge d’instruction du tribunal de Salé pour avoir applaudi l’assassinat de l’ambassadeur russe en Turquie sur les réseaux sociaux.
Dans un nouveau clip aux allures féministes, l’artiste saoudien Majed el-Esa met en scène des femmes qui s’amusent en toute liberté dans les espaces publics. Son message : dénoncer les traditions archaïques entretenues par la société saoudienne à leur égard.
Le chef du parti nationaliste a réussi à faire échouer les appels à sa démission lancés par la direction historique. Mais la participation de son parti au futur gouvernement n’est pas acquise.
Le Premier ministre algérien a annoncé ce mercredi la mise en place à partir de 2017 d’un nouveau modèle de croissance. Objectif : diversifier l’économie sans toucher aux aides sociales versées par l’État.
Depuis la ville de Zouerate en Mauritanie, le chef du gouvernement marocain a dénoncé les paroles « irresponsables » de Hamid Chabat et appelé à tourner la page de ce qui restera un véritable couac dans les relations entre les deux pays.
Des départs à la retraite dans plusieurs groupes industriels publics algériens ont provoqué un jeu de chaises musicales. Le gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika a procédé à des nominations censées accélérer les réformes industrielles.
Le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, et le ministre délégué aux Affaires étrangères, Nasser Bourita, ont été dépêchés par Mohammed VI en Mauritanie pour réparer l’impair commis par le leader de l’Istiqlal.
Vous ne pouvez pas rester de glace ! Tel est le message de l’organisation onusienne qui surfe sur le mannequin challenge, un phénomène web à la mode, pour sensibiliser sur le mal de l’excision qui ronge plusieurs pays africains.