Les trois hommes étaient sur le devant de la scène : Alcide Djédjé, ancien ministre des Affaires étrangères de Laurent Gbagbo ; Abdoul Mbaye, ancien Premier ministre du Sénégal et Fouad Filali, ancien président de la holding royal ONA au Maroc. Que sont-ils devenus ?
L’accident a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi à Douéra, près d’Alger. Ce drame survient alors que le collectif des médecins résidents est engagé dans un bras-de-fer tendu avec le gouvernement sur des revendications salariales et statutaires.
Sa démission de ce think tank royal avait suscité un tollé la semaine dernière. C’est bien à cause de sa position en faveur de l’égalité sur l’héritage qui a dérangé les conservateurs, affirme la réformiste marocaine dans un communiqué envoyé à Jeune Afrique.
L’émissaire onusien Horst Köhler présente ce mercredi les premières conclusions de sa tournée régionale au Conseil de sécurité. Le Maroc, le Polisario et leurs cercles d’amis se préparent à une nouvelle bataille ce mois d’avril dans le dossier sur le Sahara occidental.
Un courant qui se veut « réformateur » se positionne contre la réélection, en mai prochain, de l’actuel secrétaire général, Nabil Benabdellah. Ce dernier dénonce des manœuvres personnelles de ses opposants.
Mohand Laenser, ténor politique et secrétaire général de Mouvement populaire (MP) depuis 1986, va passer le relais en septembre prochain. Au sein du parti, certains aiguisent d’ores et déjà leurs armes pour lui succéder.
Barrières commerciales, planche à billets… Les remèdes à la crise proposés l’été dernier par le gouvernement algérien ne sont pas du goût de l’institution internationale, qui préfère ses méthodes traditionnelles de libre concurrence et d’emprunts internationaux. La visite d’une mission d’inspection cette dernière quinzaine s’est soldée par un sévère rappel à l’ordre à l’égard d’Alger.
Onze accords ont été signés hier entre les deux pays à l’occasion de la tenue de la Haute commission mixte présidée par la Premier ministre qatari et son homologue marocain. Un autre signal de l’entente économique entre les deux pays, malgré la crise du Golfe…
Jeune Afrique révèle en exclusivité les détails de la transformation du groupe de Moulay Hafid Elalamy, Saham, qui seront annoncés ce jeudi. Une évolution historique après huit ans de présence sur le continent.
Éjecté du gouvernement et de la direction de son parti, le Parti de la justice et du développement (PJD), Abdelilah Benkirane ne s’est pourtant pas effacé de la scène politique marocaine. Ses récentes attaques contre Aziz Akhannouch en sont une preuve supplémentaire.
Taoufik Bouachrine comparaîtra à nouveau ce lundi devant le Parquet de Casablanca. Il a été interpellé et placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête suite à des plaintes pour « agressions sexuelles ».
Le Mouvement unité et réforme (MUR) annoncera de nouveaux statuts en août prochain, durant son Congrès national, notamment pour interdire le non-cumul des mandats de ses dirigeants. Le mouvement prend ses distances avec le PJD, sans s’en écarter complètement.
Les habitants de l’ancienne ville minière se sont donnés un délai de réflexion avant de répondre au plan de développement proposé par Saadeddine El Othmani, il y a dix jours. En attendant, aucun sit-in n’est organisé.
Le roi du Maroc a décliné ce lundi les grandes orientations d’une nouvelle vision « globale et renouvelée » qui doit mettre fin aux disparités sociales et régionales. Il appelle tous les acteurs concernés à y contribuer.
Tiraillé par des divergences idéologiques, le gouvernement marocain est régulièrement fragilisé par la bataille que se mènent les partis dont les ministres sont issus. Pour tenter de remédier à ces épisodes récurrents, une nouvelle charte des bonnes conduites gouvernementales sera signée lundi.
Après cinq ans d’atermoiements, la loi promise par l’islamiste Bassima Hakkaoui a été adoptée par le Parlement ce mercredi 14 février. Mais elle subit d’ores et déjà les foudres des féministes.
La brouille causée par la sortie incendiaire de Abdelilah Benkirane, ex-Chef du gouvernement évincé de la présidence du Parti justice et développement (PJD), sur Aziz Akhannouch, président du Rassemblement national des indépendant (RNI), a été dissipée. C’est ce qu’affirme Lahcen Daoudi, ministre (PJD) des Affaires générales.
En pleine crise entre le PJD et le RNI, le chef du gouvernement marocain, Saadeddine El Othmani, a invité jeudi soir les chefs de sa majorité à une réunion d’urgence pour tenter de les ressouder autour de lui. Les résultats de cette rencontre pourraient être annoncés sous peu.
Les ministres du parti de Aziz Akhannouch n’ont pas assisté au Conseil de gouvernement ce jeudi 8 février pour protester contre les attaques de Abdelilah Benkirane contre leur chef. Une nouvelle crise au sein du gouvernement ?
Chedly Ayari a été démis de ses fonctions ce mercredi, quelques heures après la décision du Parlement européen de classer la Tunisie parmi les États les plus exposés au blanchiment d’argent. Il devrait être remplacé par Marouane Abassi, un cadre de la Banque mondiale.
Le sort de l’accord de pêche entre le Maroc et l’Union européenne sera fixé le 27 février prochain. De quoi raviver ce long feuilleton juridique qui envenime les relations entre Rabat et Bruxelles.
Une cinquantaine de manifestants, dont le leader contestataire Nasser Zefzafi, comparaissent devant un tribunal de Casablanca, depuis le mois de septembre. Les débats s’éternisent et deviennent de plus en plus houleux.
Les résultats de l’enquête sur les scènes de migrants subsahariens réduits en esclavage diffusées par CNN en novembre dernier seront prêts « dans un mois », a assuré Mohamed Tahar Siala, ministre libyen des Affaires étrangères, dans une interview à Jeune Afrique. D’ici là, il considère que « ce reportage n’est pas fiable ».
Rabat a demandé l’amendement de certains passages du rapport « Paix et sécurité », présenté dimanche par le Commissaire paix et sécurité, accusant le document d’être en contradiction avec la position de l’ONU sur le statut du Sahara occidental.
L’ère des idéologies est révolu, soutient le ministre ivoirien de l’Intégration africaine. Dans cet entretien accordé à Jeune Afrique en marge du 30e sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, il livre la position de son pays sur les nouveaux enjeux de l’organisation.
Auto-financement de l’organisation, conflits régionaux et présentation des nouveaux venus… Tour d’horizon de la première journée du 30e sommet de l’UA.
Les dirigeants du continent se retrouvent ce dimanche pour un sommet axé sur la réforme de l’organisation. Une nouvelle ère, sous la présidence du Rwandais Paul Kagame.
Seul candidat en lice après le retrait de l’Algérie, le royaume a été élu à la majorité ce vendredi. Mais d’autres pays africains font leur entrée dans ce Conseil.
Dans un discours prononcé aujourd’hui, le président de la Commission de l’Union africaine s’est joint au concert des indignés après les propos insultants du président des États-Unis. Mais il s’est positionné aussi sur d’autres thématiques du moment. Morceaux choisis.